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Message par Jacknap1948 Dim 21 Mar 2021 - 9:47

Salut à Tous.
Voici donc une nouvelle petite série de blagues.


Les maths expliquent tout
Dernièrement, je me suis demandé ce que voulait dire, « se donner à 100% »
Et comment font ceux (ou celles) qui se vantent de se donner à PLUS de 100% ?
Voici une explication scientifiquement prouvée qui peut donner à réfléchir…
Si l’on considère que: A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Correspondent à : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26
Alors faisons des comparatifs :
T R A V A I L = 20+18+1+22+1+9+12 = 83%
E N G A G E M E N T = 5+14+7+1+7+5+13+5+14+20 = 91%
C O M P E T E N C E = 3+15+13+16+5+20+5+14+3+5 = 99%
On s’approche du résultat, n’est-ce pas ?
Alors continuons :
A T T I T U D E = 1+20+20+9+20+21+4+5 = 100%
D I S C I P L I N E = 4+9+19+3+9+16+12+9+14+5 = 100%
Impressionnant, non ?
Continuons donc :
V A N T A R D I S E = 22+1+14+20+1+18+4+9+19+5 = 113%
Là, on vient de péter le 100% !
Voyons jusqu’où cela peut nous mener…
LECHER LE CUL = 12+5+3+8+5+18+12+5+3+21+12 = 120%
CIRER LES POMPES = 3+9+18+5+18+12+5+19+16+15+13+16+5+19 = 133%
SUCER LE BOSS = 19+21+3+18+12+5+2+15+19+19 = 173%
Alors la prochaine fois que quelqu’un(e) vous dira :
« Moi, dans mon travail, je me donne à plus de 100% » Vous saurez pourquoi !!


Un type décide de faire son baptême de l'air.
Il se rend dans un aéroclub et engage la conversation avec le pilote
" Voilà... J'aimerais faire mon baptême de l'air mais je voudrais un vol à sensations, pas les petits vols pépères que vous réservez aux touristes "
" Pas de problème, si vous êtes amateur de sensations fortes, vous allez en avoir "
Le type et le pilote montent donc dans un petit avion.
L'avion prend de la vitesse...
il roule de plus en plus vite mais ne décolle pas !
Il fonce droit sur un arbre !
Au dernier moment, le pilote tire sur le manche et l'avion décolle en frôlant les branches de l'arbre...
Le pilote entend son client assis derrière lui dire :
"Ça, je m'y attendais !"
L'avion a maintenant pris de l'altitude.
Comme le type ne semble pas avoir eu peur au décollage, le pilote tente la figure de "la feuille morte".
Il coupe le moteur de l'avion et ce dernier chute vers le sol. L'avion part en vrille, le sol se rapproche de plus en plus vite et au dernier moment, le pilote remet les gaz et tire sur le manche !
L'avion fait un rase-mottes et reprend de l'altitude...
Le pilote entend son client dire :
"Ha ! Putaiiiiin, ça, j'en étais sûr ! "
Énervé, le pilote bascule l'avion sur le dos.
Il vole ainsi un petit moment puis enchaîne les loopings.
Lorsqu'il termine ses acrobaties, le pilote entend le type dire :
"A ça, par exemple, j'm'y attendais pas ! "
Comme le client a enfin eu les sensations fortes demandées, le pilote pose le petit avion en douceur..
Après avoir atterri, le pilote dit à son client :
"J'ai cru que je n'arriverais jamais à vous faire peur ! Vous n'arrêtiez pas de dire "ça, je m'y attendais ! "
"Écoutez bien ! " lui répond son client :
"Quand j'ai dit "ça, je m'y attendais !" au moment du décollage, c'est parce que j'ai pissé dans mon pantalon tellement j'ai eu peur !
Ensuite, quand l'avion a chuté vers le sol, j'ai dit ça "Ha ! Putaiiiiin, ça, j'en était sûr !" parce que j'ai chié dans mon pantalon tellement j'ai eu peur...
Par contre, quand vous avez volé sur le dos et fait les loopings à l'envers, tout est remonté jusqu'au col de ma chemise ; et ça, je ne m'y attendais pas !... "


Un homme dans la rue est accosté par un SDF, très sale et débraillé qui lui demande de l’argent pour manger.
Le passant prend son portefeuille, en sort un billet de 10 euros mais avant lui demande :
- Si je vous donne ce billet, allez-vous acheter de la bière au lieu de manger ?
- Non, il y a maintenant plusieurs années que j’ai arrêté de boire, réplique le sans-abri.
- Allez-vous l’utiliser pour jouer aux cartes au lieu de manger ? demande l’homme.
- Non, je ne joue pas, dit le sans-abri.
- Alors allez-vous dépenser cet argent pour aller au football ? demande l’homme.
- Vous voulez rire ! répond le sans-abri. Il y a plus de vingt ans que je n’ai plus vu un match !
- Peut-être allez-vous dépenser cet argent pour le sexe au lieu de manger ? dit le donateur.
- Et prendre le risque d’attraper le sida pour un pauvre petit billet de 10 EUROS !! s’exclame le sans-abri.
- Très bien, dit l’homme, je ne vais pas vous donner l’argent, mais je vous invite à la maison pour un bon repas, je vais prévenir mon épouse.
Le sans-abri, abasourdi, s’exclame :
- Mais votre femme sera furieuse ! Je suis sale et je ne sens pas très bon !
Et le bon samaritain de répondre :
- Non, soyez tranquille, c’est parfait ! Je veux simplement lui faire voir à quoi ressemble un homme qui a laissé tomber la bière, le jeu, le foot et le sexe !


Un homme arrive chez un médecin.
- Bonjour, docteur ! Vous ne me connaissez pas, je m’appelle Albert Dupont, je suis célibataire, sans enfants, et je vis seul dans un pavillon à Bougival. Depuis quelques semaines je ne me sens pas bien du tout. J’ai maigri de quinze kilos, j’ai en permanence plus de trente-neuf de fièvre, et je tousse jour et nuit. Est-ce que c’est grave ?
- Un instant, fait le docteur en composant un numéro de téléphone /
- Allô, Stéphane ? C’est Bernard. Dis-moi, Stéphane, tu cherches toujours un pavillon à Bougival ?


Deux polytechniciens se retrouvent le lundi matin à l’école.
- Alors, demande le premier, ton week-end s’est bien passé ?
- Si tu savais ce qui m’est arrivé, fait l’autre. Figure-toi que j’étais à la campagne, je me promenais sur un chemin, arrive une jeune fille en vélo. Elle engage la conversation, et puis tout à coup, en arrivant devant une meule de foin, elle pose sa bicyclette, elle retire sa culotte, et elle me dit : » Prenez ce que vous voulez… » Alors j’ai pris son vélo.
- Tu as eu raison, dit l’autre. Qu’est-ce que tu aurais fait d’une culotte de femme ?


Une femme rentre chez elle et trouve sa mère et son mari dans la cuisine.
Sa mère est assise sur une chaise, les pieds dans une bassine d’eau, un fil électrique dénudé à chaque poignet, des électrodes sur les tempes, tandis que le mari s’apprête à brancher la prise.
Et la mère dit à la fille :
Quelle chance j’ai d’avoir un gendre aussi gentil ! Regarde, il va me guérir mes rhumatismes…


Une association de nains a monté un club de football, et chaque dimanche ses équipes jouent l’une contre l’autre.
Après le match, tous vont dans un café où on leur réserve une salle du premier pour boire un vin chaud.
Un dimanche un client déjà éméché, accoudé au comptoir, voit soudain descendre dans l’escalier un, deux, puis trois, cinq, dix, onze nains en maillot bleu qui traversent la salle, passent devant lui, et sortent dans la rue.
Il se frotte les yeux et recommande un cognac.
Mais à peine l’a-t-il bu qu’il voit un, deux, cinq, dix, onze nains en maillot rouge descendre à leur tour l’escalier, passer devant lui, et sortir dans la rue.
Alors il appelle le propriétaire du bistrot et lui dit à l’oreille :
- Patron, je voudrais pas vous inquiéter, mais je vous signale que votre baby-foot se fait la malle…


Des mots français en phase terminale, conservez-les ! Un jour viendra où on ne les trouvera plus dans aucun dictionnaire, si ce n'est de vieux Français…

Inculpation
A été expurgé du Code Pénal au profit de « mise en examen », cela afin d'éviter une infamante présomption de culpabilité.
-Être « en examen » ne présage pas du résultat de l'examen.
-Aujourd'hui quand quelqu'un est mis en examen, on doit toujours insister sur le fait que cela ne préjuge pas de sa culpabilité.
-Comme du temps où il aurait été « inculpé ».

Instituteur
-Longtemps remplacé par « Maître d'école ».
-Il tend à disparaître par sa dissolution dans le concept fourre-tout de l'enseignement, au bénéfice de « Professeur des écoles ».

Maîtresse
-Ne pas assimiler à la version féminine d'instituteur !
-Ce serait une « professeure des écoles ». Les maris n'ont plus de maîtresse mais une « amie »...
-Les épouses conservent parfois l'amant, mais seulement à cause de la connotation romantique.
Les moins romantiques n'ont qu'un « ami » aussi !

Morale
-A force d'être inemployée, a disparu. Ne demeure que « ordre moral », mais attention : connoté de « fascisme »
-Toutefois, personne ne se réclame du « désordre moral ». La morale n'est plus enseignée, elle est remplacée par l’éducation à la citoyenneté.

Mourant
-Il n'y a plus de mourant, mais des malades « en phase terminale ».
-Afin d'éviter une regrettable confusion, ne dites pas à votre fils qu'il est en terminale, mais qu'il va passer son bac !
-Pour désigner un mort doit-on parler d'un individu « en phase terminée » ?

Patriote
-Totalement absent du vocabulaire politique et civique.
-Désigne aussi un bon citoyen américain, et un missile américain...

Pauvre
N'existe plus. C’est un « défavorisé », un « plus défavorisé », un « exclu », un « S.D.F. », à la rigueur un « laissé pour compte ».
-Dans les années 1980, il subsistait uniquement dans l'appellation « nouveau pauvre » ; ce fut le chant du cygne.

Province
-Dire désormais « en RÉGION ». On ne dit plus du « provincial », mais du « régional ».

Race
-A été abolie au profit d' « appartenance ethnique ». Sinon, vous êtes raciste, fasciste, nauséabond,
-On peut néanmoins dire « black » en anglais et en banlieue.

Servante / Bonne
-Se trouve dans les romans du XIXème siècle.
-Aujourd'hui, c'est une « employée de maison ».
-Quand elle s'occupe de vieux – pardon, de « personnes âgées » − elle devient une « auxiliaire de vie ».

Séquestré
-Aucun cadre, aucun chef d'entreprise n'est séquestré : il est « retenu contre son gré » !

Vandales
-A laissé place à « jeunes en colère », voire à « paysans en colère ».
-L'ampleur des dégâts distingue les vandales des autres.

Vol
-Terme réservé aux gagne-petit et aux obscurs.
-Pour les politiques, on parlera d' « enrichissement personnel ».
-Ce qui est condamné unanimement par les collègues, contrairement à l'enrichissement impersonnel, qui, lui, ne bénéficie qu'au parti...
-Mérite la compréhension, ce que les juges n'ont pas encore compris !

Voyou
-En voie d'extinction... On ne connaît que des individus « bien connus des services de police », des « récidivistes » et des « multi-délinquants ».

Jean d'Ormesson :

Et les cons sont devenus des « mal-comprenants » !


Un peu de révision sur les départements, cette histoire le permet

LES DEPARTEMENTS DANS L’HISTOIRE

J’étais assis au bar en train de boire un CALVADOS
Tandis que je regardais un clochard faire la MANCHE
Une dame vint s’asseoir près de moi, elle portait un manteau de LOIRE
Je fus déjà impressionner car je sais que le LOIR ET CHER
Nous engageâmes la conversation et ce qui me charma , chez elle, furent SAVOIE
Et ses yeux DOUBS
Au bout de quelques minutes elle me demanda de monter, il fallait donc que je VIENNE et j’acceptai sans crier GARD
Elle ne perdit pas le NORD car à peine arrivés dans la chambre, elle se déshabilla, ses seins étaient magnifiques, elle les AVEYRON
En fait cette fille était bien GIRONDE et nous nous amusâmes jusqu’à l’AUBE
Au petit matin, je lui fis goûter mon jambon, mon saucisson et mon CANTAL et elle fut si contente qu’elle me traita de HERAULT
Un peu fatiguée, elle me demanda tout d’abord l’EURE mais là où l’histoire se CORSE c’est que lorsqu’on eut fini, elle me demanda une SOMME
Je refusai de payer, trouvant que c’était trop CHER et ce fut une terrible SEINE Je vis alors dans ses yeux, beaucoup de AISNE
Et c’est à ce moment-là que j’aurais eu besoin d’ALLIER car elle me frappa dans le BAS-RHIN
Mais à des histoires pareilles, on ne l’y reprendrai plus, elle le JURA.


Assis sur un banc, trois petits vieux discutent.
- Moi, dit le premier, quand je pète, ça fait beaucoup de bruit, mais ça sent rien.
- Moi, répond le second, c’est le contraire : ça ne fait aucun bruit, mais par contre ça sent.
- Moi, fait le troisième, ça ne fait aucun bruit et ça ne sent rien.
Et les deux autres lui disent en chœur :
- Alors pourquoi tu pètes ?


Un couple de grands-parents rend visite à ses petits enfants pour le week-end.
Le soir avant de se coucher, la grand-mère va dans la chambre d’Adeline sa petite fille de 17 ans, pour lui dire bonsoir.
À sa grande surprise, celle-ci est toute nue.
- Mais que fais-tu toute nue ? lui demande-t-elle.
- Ben grand-mère, c’est la chemise de nuit de l’an 2000 ! répond alors Adeline.
Un peu désorientée, la grand-mère se rend alors dans la chambre d’Alex, 15 ans, et elle le trouve également nu.
- Ah toi aussi tu portes un pyjama de l’an 2000 Alex ?
- Oui grand-mère, lui répond Alex.
La grand-mère décide le soir même de faire pareil pour surprendre son mari, la grand-mère se déshabille entièrement et retourne dans sa chambre.
Devant son air ébahi, elle lui explique :
- Tu vois Maurice : voilà la chemise de nuit de l’an 2000 !
- Ben dis-moi, tu aurais quand même pu la repasser avant !


L’autre jour je rendais visite à une ancienne connaissance (dont je tairai le nom) internée dans un dans un institut psychiatrique.
Je profitais de l’occasion pour questionner le directeur de l’établissement, et lui demander sur quel critère on se base pour déterminer si un patient doit être interné ou non.
- Eh bien, nous emplissons une baignoire d’eau, puis nous offrons une cuillère, une tasse ou un seau au patient en lui demandant de vider la baignoire.
- Ah, je comprends, une personne normale choisira évidemment le seau parce qu’il est plus gros que la cuillère ou la tasse !
- Non, me répondit le directeur, une personne normale retirerait le bouchon du bain… Désirez-vous une chambre avec vue ?


Chez le gynécologue
Madame Van Schmurtele, une dame assez enrobée de 39 ans, se rend chez son gynécologue, le docteur Van De Hotboxer, accompagnée de sa fille, une très jolie demoiselle d’à peine 16 ans.
Lorsqu’arrive leur tour, à peine entrées dans le cabinet du docteur, Madame Van Schmurtele déclare :
« Ça ne vas plus, docteur, plus moyen de dormir la nuit, malgré une grosse fatigue, et en plus, d’abominables douleurs dans le bas-ventre ».
Le docteur Van De Hotboxer dit alors :
« Et bien, nous allons voir ça. Mademoiselle, si vous voulez bien passer derrière le paravent et vous déshabiller entièrement ».
Ce à quoi Madame Van Schmurtele répond :
« Mais, docteur, c’est chez moi que ça ne va pas. Ma fille, elle, elle est en pleine forme ».
Et le docteur Van De Hotboxer rétorque :
« Oh pardon, Madame et Mademoiselle. Bon Madame, je vais voir comment je peux vous soigner. Voulez-vous bien ouvrir la bouche en grand et tirer la langue » ?


Deux ouvriers prennent leur pause de midi, le premier fait :
- Tu connais Victor Hugo ?
- Non.
- T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir !
Le lendemain, toujours le même :
- Tu connais Albert Einstein ?
- Non.
- T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir !
Le surlendemain, ça recommence :
- Tu connais Karl Marx ?
- Non.
- T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir !
Alors l’autre tout énervé fait :
- Et toi, tu connais Jean Dupont ?
- Non ?
- T’as tort, c’est celui qui baise ta femme pendant que tu suis les cours du soir !


Le chef cannibale soulève le couvercle de la marmite de temps en temps, et avec une énorme fourche, il pique le mec qui est en train de cuire !
- Mais enfin! lui dit un autre cannibale ! Foutez-lui au moins la paix ! On le fout déjà au court-bouillon, alors si en plus on le torture...
- Quoi!? Mais tu ne vois pas qu'il en train d'bouffer tout le riz !


Ma place au Paradis
Roger se présente devant St-Pierre et attend le verdict de ce dernier pour entrer au Paradis.
St-Pierre examine son dossier et semble circonspect :
- Roger, votre cas est délicat car si c’est vrai que vous n’avez rien fait de mal au cours de votre existence, vous n’avez rien fait de bien non plus. Avez-vous l’impression d’avoir mené une bonne action, au moins une fois dans votre vie ?
Roger réplique sans hésiter :
- Bien sûr. Ce jour où je m’étais perdu en voiture dans un quartier chaud de la ville et où j’ai vu cette horde de skin heads agresser une pauvre jeune fille. Je suis descendu de ma voiture, j’ai pris mon démonte-pneu et j’ai couru vers ces sales types. Ils devaient être une vingtaine et quand ils m’ont vu arriver avec mon démonte-pneu, ils ont tout de suite laissé partir la fille… N’est-ce pas un acte héroïque, St-Pierre ?
Le juge suprême réfléchit et dit :
- C’est sûr, Roger, vous méritez le Paradis… Mais je ne vois pas trace de cet événement dans les archives vous concernant. Quand est-ce arrivé ?
- Ohhh, Il y a deux ou trois minutes.


"Savez-vous comment on appelle la femelle du Gnou ?

"
Bah la Rtule…


Quelle est la différence entre un accident et une catastrophe ??
* L'accident, ta belle-mère tombe à l'eau
* La catastrophe, elle sait nager !!


Un gars se rend au bureau d'accueil d'une gendarmerie.
- Bonjour, c'est pour déposer plainte, on m'a volé mon permis de conduire.
- Bien sûr monsieur. Vous avez vu votre voleur ? Comment était-il habillé ?
- Comme vous monsieur ...


Dans une brasserie, une très jolie femme s’approche du bar.
Elle fait signe au barman de s’approcher plus près.
Lorsqu’il arrive, elle lui fait signe de façon assez séduisante de se rapprocher encore.
Il se penche et elle commence à lui caresser la barbe.
- Êtes-vous le gérant ? dit-elle en lui caressant sensuellement le visage.
- Euh… en fait non, répond le barman.
- Pouvez-vous aller le chercher ? demande la femme en glissant sa main dans les cheveux du barman.
- Malheureusement non, souffle le barman prenant visiblement plaisir à la situation.
- Pouvez-vous faire quelque chose pour moi ? demande la femme en passant ses doigts sur les lèvres du barman.
- Bien sûr, répond l’homme.
- Je voudrais lui laisser un message, dit-elle en glissant un doigt puis l’autre dans la bouche du barman qui les suce légèrement.
- Quel est le message ? demande le barman.
- Dites-lui qu’il n’y a ni papier ni savon dans les toilettes des dames.


Marcel a très très mal à la tête.
Quand il se lève le matin il a mal à la tête, dans les embouteillages vers le bureau il a mal à la tête, toute la matinée il a mal à la tête.
Le midi il déjeune seul, forcément il ne peut pas participer aux conversations de ses collègues, il a mal à la tête.
L’après-midi il essaie d’oublier qu’il a la mal à la tête, il rentre tôt pour essayer de se coucher et de dormir un peu mais la nuit il se trouve réveillé par son mal de tête…
Ça fait dix ans que ça dure et après avoir consulté plusieurs médecins sur son cas, au bord du suicide, Marcel prend un matin rendez-vous chez un spécialiste.
L’homme de l’art passe la tête de Marcel au scanner et rend son verdict :
- Marcel, j’ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise : La bonne c’est que nous avons enfin trouvé l’origine de votre mal ; La mauvaise c’est justement l’origine de votre mal. En fait vos testicules font pression sur le bas de votre dos. Les lombaires, en réaction, pincent le nerf spinal, lequel remontant le long de la colonne jusqu’à la tête, provoque une irritation permanente du cerveau, d’où vos maux de tête chroniques !
- Que peut-on faire pour que j’en sorte Docteur ?
- Seulement deux choses Marcel, vous couper les testicules ou vous laisser vivre avec votre mal !
- Quelques instants de réflexion suffisent à Marcel pour se décider, il a vraiment trop mal à la tête :
- On coupe, Docteur !
Trois jours suffisent pour que Marcel, remis des suites de l’opération, quitte la clinique.
Un monde nouveau s’étale devant ses yeux incrédules ses migraines l’ont quitté, ses tempes ne battent plus, ses idées sont claires, les gens lui sourient et il leur sourit enfin !
Pour fêter ça, passant devant l’officine d’un tailleur pour homme, il décide de s’offrir un nouveau costume sur mesure et pousse la porte de l’échoppe.
- Bonjour Monsieur le tailleur, je voudrais m’offrir un costume sur mesure
- Mais parfaitement je vous propose cette veste en 54 et ce pantalon en 46 qui vous iront parfaitement.
Un peu étonné d’une telle acuité de jugement, Marcel enfile l’ensemble et constate qu’il lui va comme un gant.
- Vraiment je suis impressionné, comment pouviez-vous savoir ma taille aussi précisément ?
- Le coup œil du pro, Monsieur, j’exerce depuis vingt ans.
Emballé, Marcel décide de compléter ses achats en s’offrant un caleçon de marque.
- Mais parfaitement monsieur, je vous propose ce modèle à carreau en taille 42.
Marcel corrige le tailleur :
- Désolé, mais cette fois vous faites erreur, je porte uniquement du 40.
Le tailleur insiste :
- Croyez-en le coup d’œil du pro. En caleçon vous faites du 42.
Marcel insiste encore :
- Navré de vous prendre à défaut, Monsieur, mais je porte du 40 depuis au moins 10 ans.
Et le tailleur qui reste un commerçant :
C’est comme vous voudrez, mais je dois vous prévenir : en portant du 40, vos testicules vont faire pression sur le bas de votre dos et vos lombaires, en réaction, pinceront le nerf spinal qui vous donnera un horrible mal de tête…


Un Allemand qui visite Paris s'arrête à coté de deux types qui attendent un bus.
- Entschuldigung, bitte, sprechen Sie Deutsch ?
Les deux Français le regardent en silence.
-Spreekt u misschien Nederlands
Les deux Français ne bougent pas... L'Allemand essaie alors :
- Sorry, do you speak English ?
Les deux autres continuent à le regarder.
- Parlare Italiano ?
Pas de réponse.
- Habla usted Espanol ?
Toujours rien.
L'Allemand hoche alors la tête d'un air dégouté et s'en va. Le premier Français dit alors à l'autre :
- Tu ne crois pas qu'on devrait quand même apprendre une langue étrangère ?
- Pourquoi ? Ce type en connaissait cinq et ça ne lui a servi à rien !



Pourquoi les italiens ne font-ils jamais l'amour dans leur baignoire ?
Parce qu'il est bien connu que l'eau chaude ramollit les spaghettis.


Pourquoi les Indiens d'Amérique ont-ils froid ?
Parce que Christophe Colomb les a découverts !


Trois malades font le pèlerinage annuel de Lourdes.
Le premier, muet, plonge dans la piscine et ressort en criant :
- Miracle je parle. Loué soit Dieu, louée soit Marie !
Le second, aveugle, se précipite vers la piscine, se prend les pieds dans la margelle et tombe dedans.
Il émerge de l’eau en criant :
- Miracle je vois. Loué soit Dieu, louée soit Marie !
Le troisième, paraplégique, se précipite dans la piscine avec son fauteuil.
Et, oh miracle, il en ressort avec quatre pneus neufs.


Un Français, est en train de déjeuner dans un café, lorsqu’un Américain, mâcheur de chewing-gum, vient s’asseoir en face de lui :
- Vous mangez tout le pain en France ?
- Bien sûr.
- Nous aux States on ne mange que la mie. La croûte, on la stocke dans des containers, puis on la transforme en croissants qu’on envoie en France
- Et avec le pain, vous mangez de la confiture ?
- Bien sûr !
- Eh bien, nous on mange des fruits frais, on ramasse et on stocke les pelures dans des containers, on les transforme en confiture qu’on envoie en France !
Le Français, excédé demande :
- Que faites-vous avec les préservatifs usagés ?
- On les jette bien sûr !
- Eh bien nous on les stocke dans des containers, puis on les transforme en chewing-gum qu’on envoie aux États-Unis !

Faut pas faire chier un Français qui prend son petit déjeuner.


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Bonne lecture, bons sourires et bonne journée.
Jacques.


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À mon très grand ami Patrice († 58).
À ma petite belle-fille Gaëlle († 31).




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Message par dracir Jeu 17 Mar 2022 - 9:10

rendeer

Merci Jacques pour cette lecture

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