392 ° série de blagues.
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392 ° série de blagues.
Salut à Tous.
Voici donc une nouvelle petite série de blagues.
Deux gendarmes appellent leur Compagnie et demandent à parler au Commandant :
– Nous avons un problème ici : une femme vient d’abattre son mari d’un coup de fusil parce que celui-ci a marché sur le carrelage frais lavé.
– Vous avez arrêté la femme ? demande l’Officier.
– Noooon, surtout pas... le carrelage est pas encore sec… !!!
Une dame est à la fenêtre de sa maison et voit se garer devant chez elle un camion de la D.D.E.
Un premier gars en descend, prend une pelle et creuse un trou, puis va 2 mètres plus loin et creuse un deuxième trou.
Et ainsi de suite...
Un deuxième gars sort alors du camion, prend une pelle et rebouche tous les trous que son collègue continue à creuser.
Intriguée, la dame va les voir et les interroge sur leur travail.
Et le premier agent lui répond :
- Je sais que ça peut paraître bizarre. D'habitude nous sommes trois dans l'équipe mais aujourd'hui le gars qui plante les arbres est en RTT.
Un paysan est dans un troquet en train de boire au beau milieu de la journée.
Un gars le voit et lui demande :
- Hé ! Pourquoi tu es là en train de te saouler par une belle journée comme aujourd’hui ?
- Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer...
- Qu’est-ce qui t’arrive de si grave ?
- Ben, tu vois, ce matin, j’étais dans l'étable en train de traire ma vache. A la fin, la vache a donné un coup avec sa patte gauche sur le seau et l’a renversé.
- Ça n’a pas l’air si grave que ça...
- Ouai, mais y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer...
- Qu’est-ce qui s’est passé d’autre ?
Le paysan continue :
- Là, j’ai décidé d’attacher la patte gauche de la vache au poteau pour ne pas qu’elle recommence.
- Et puis ?
- Ben, je me suis rassis et j’ai recommencé à la traire. Quelques minutes plus tard, elle a donné un coup sur le seau avec sa patte droite.
- Encore ?
- Ben oui... Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer...
- Alors, qu’est-ce que t’as fait ?
- J’ai décidé d’attacher la patte droite sur l’autre poteau pour ne pas qu’elle recommence. Là, elle ne pouvait plus donner de coup de patte puisque les deux étaient attachées de chaque côté.
- Et ça a marché ?
- Ben, je me suis rassis et j’ai recommencé à la traire. Tout allait bien, jusqu’à ce que la maudite vache donne un coup de queue et renverse le seau encore une fois.
- Ouai, ça n’allait pas bien !
- Non monsieur. Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer...
- Alors qu’est-ce que t’as fait ensuite ?
- Ben là, je n’avais plus de corde proche, alors j’ai enlevé ma ceinture pour attacher sa queue sur un poteau pour ne pas qu’elle recommence.
Comme je venais de finir d’attacher la queue, mon pantalon est tombé.
- Et alors... ? ! ? !
- Ben, c’est à ce moment que ma femme est entrée dans l'étable... Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer...
Dans une école du Médoc, l’institutrice apprend aux élèves les mesures de capacité.
Elle en arrive aux mesures des liquides et dit :
– La plus petite, c’est le millilitre. Puis viennent le centilitre, le décilitre, et la mesure de base qui est…
– Le litre ! crient les enfants.
– Très bien. Qu’y a-t-il au-dessus du litre ?
Et toute la classe en chœur répond :
– Le bouchon !
Un professeur de psychologie commence son cours :
– Aujourd’hui, nous allons étudier les différents stades de la colère.
Il fait venir un téléphone dans la salle, compose un numéro au hasard et demande :
– Bonjour Madame, pourrais-je parler à Jacques, s’il vous plaît ?
– Vous faites erreur, il n’y a pas de Jacques à ce numéro.
Il se tourne alors vers les étudiants et dit :
– Vous venez d’assister à la phase de mise en condition.
Il recommence et la dame, un peu agacée, répond :
– Je vous ai déjà dit qu’il n’y avait pas de Jacques ici !
Il réitère une bonne douzaine de fois, raccroche après s’être fait hurler dessus par cette dame devenue hystérique et s’adresse à son auditoire :
– Voilà enfin le niveau ultime de la colère.
Là-dessus, un étudiant lève la main :
– Monsieur, il y a pourtant un stade supérieur.
Et, pour illustrer, il se saisit du téléphone, compose encore une fois le même numéro et dit :
– Bonjour Madame, je suis Jacques. Y a-t-il eu des messages pour moi ?
Vous connaissiez les perles du bac, mais les élèves ne sont pas les seuls à faire des gaffes ! Mots d'excuses, coups de gueule… Voici les perles des parents d'élèves.
Mon fils n'aime pas sa maîtresse et mon mari non plus.
Ce n'est pas moi le professeur, c'est vous ! Alors ne reprochez pas à mon fils de ne rien foutre à la maison ! Chacun son boulot !
Demain mon fils sera absent car je pense qu'il sera malade vu que c'est l'examen…
Vous employez toujours des grands mots ronflants, éducation physique par exemple, alors que c'est jamais que de la gym…
Monsieur, Paul est tombé hier soir de bicyclette ; il a eu le front ouvert et le pantalon déchiré. Le docteur l'a recousu et je vous le renverrai quand il sera repassé. Mes respects.
Les calculettes c'est des inventions de feignants qui ne savent même plus compter leurs tables de multiplication sur les doigts…
Dès qu'ils rentrent de l'école, mes enfants vomissent toute votre cantine.
Ma fille a passé l'oral par écrit…
Messieurs, Je n'est pas comprit que Gérard aille un zéro en composition d'orthographe alor qu'ici il a pas de fotes dans les dictés qu'ont lui fé fer a la maison. Veullé revoir sa copie. Remerciement
À la cantine, les surveillants l'ont obligé à sucer tous les morceaux de la poule.
Monsieur veuillez excuser l'absence de mon fils, je l'ai utilisé pour mes besoins.
Si vous ne croyez pas les mots d'excuses que je fais pour mon fils, vous n'avez qu'à demander à son père puisque c'est lui qui les fait !
Madame, mon fils n'est pas venu à l'école parce que ces chaussons étaient troués.
Mon fils est intelligent comme sa mère et moi, c'est de famille chez nous…
Excusez mon fils, il a des excuses.
Ma fille ne sait toujours pas compter et on ne peut pas compter sur vous…
La première fois que l'instituteur a châtré mon fils pour une bêtise, je n'ai pas réagi. Mais quand il s'est mis à le châtrer tous les jours pour des riens du tout, juste parce que sa tête ne lui revient pas, j'ai décidé de prendre la mort aux dents.
Ayant des difficultés à retenir, je suis entièrement d'accord pour que Delphine travaille aux heures de classe.
Excusez mon fils qui a dû venir avec moi à mon enterrement.
Je refuse de vous payer l'assurance scolaire pour les petits car moi j'élève mes enfants à la dure et s'il leur arrive quelque chose c'est comme ça qu'ils apprendront que la vie c'est pas une partie de plaisir.
2 et 2 ça fait 4 et toutes vos réformes de l'enseignement n'y changeront rien !
Si vous continuez à harceler mon fils, j'irai expliquer au ministre de la Culture qui vous êtes vraiment !
Ne touchez plus ma fille, il y a déjà son père pour ça.
Non mais regardez-vous, vous vous dites professeur et vous ne savez même pas prendre ma fille dans le bon sens !
N'hésitez pas à taper sur mon fils s'il est trop discipliné.
Je vous autorise à éduquer mon fils comme moi et à lui apprendre surtout les taloches et les coups de pied au cul !
Votre exercice était tellement évident que personne n'a jamais rien compris.
Moi j'y comprends rien à vos nouvelles notes : Quand j'étais petite, ça allait de 0 à 10 et maintenant c'est des lettres de l'alphabet… A, B, C, D, pour moi c'est du charabia et je n'arrive pas à savoir si la petite est un cancre ou une bonne élève.
Madame, Mireille est rentrée hier soir avec une bonne grippe. Je lui ai fait garder le lit et lui ai donné un bon grog avec un sexe de citron. Si cela lui fait de l'effet, je la renverrai vendredi.
Madame Dupont est en deuil. Monsieur vient de passer.
Les amis, la famille défilent au domicile pour lui présenter leurs condoléances et rendre un dernier hommage au disparu, or, à chaque visite, Marie, la servante claironne :
– Médéme ! C’est une visite pour le mort !
À la fin, madame Dupont en a assez, et elle prend la petite Marie à part :
– Écoutez, ma fille, vous pourriez avoir un peu de respect, en la circonstance ! La prochaine fois, au lieu de dire « mort », vous direz « monsieur », comme lorsque mon pauvre mari était encore vivant. C’est compris ?
– Oui médéme.
C’est alors qu’on sonne à la porte, Marie se précipite, ouvre et claironne :
– Médéme ! C’est le croque-monsieur !
Un jeunot au volant d’un 4×4 Toyota customisée voit une Rolls se ranger à son côté à un feu tricolore.
Le gars dans le custom demande au chauffeur de la Rolls :
– Il y a le téléphone dans la voiture ?
– Oui, bien sûr !
– Et le fax ?
– Nous avons ça aussi !
– La télé ?
– Oui, on la regarde rarement !
– Est-ce que ça peut faire couchette pour deux personnes à l’arrière ?
Et là, le feu venant de passer au vert, le gars en Toyota démarre en trombe, laissant le chauffeur de la Rolls sur place, blême d’impuissance.
Dans l’après-midi, le proprio de la Rolls prend rendez-vous avec le garage pour une installation de couchettes à l’arrière de sa voiture.
Une semaine plus tard, il aperçoit le custom 4×4 garé sur un trottoir, les vitres arrières couvertes de buée et de la vapeur s’échappant à l’extérieur.
Le gars à la Rolls s’arrête alors et vient frapper à la vitre :
– Hé là-dedans ! …
Après plusieurs ‘toc toc’, le conducteur du 4×4 sort la tête de l’habitacle, et le chauffeur de Rolls lui dit alors :
– Dites, moi aussi j’ai une couchette pour deux personnes à l’arrière !
La réponse du gars au 4×4:
– Et c’est pour me dire ça que tu me fais sortir de la douche ?
Douze prêtres étaient sur le point d'être ordonnés.
Leur ultime épreuve était de s'aligner entièrement dénudés dans le jardin du couvent tandis qu'une belle fille très jolie, danserait complètement dévêtue devant chacun d'eux.
Chaque futur prêtre avait une clochette fixée à son s... et il était prévu que... quiconque ferait tinter sa clochette pendant qu'elle dansait ne serait pas ordonné parce qu'il n'avait pas atteint un état de pureté spirituelle.
La fille commença à danser devant le premier candidat.
Aucune réaction.
Elle procéda ainsi le long de la rangée des candidats prêtres avec la même absence totale de réaction de tous jusqu'au dernier : Yves Pauvre Yves.
Alors que la fille s'avançait vers lui en dansant, sa cloche sonna si fort qu'elle s'envola dans le jardin et atterrit loin devant lui.
Confus et honteux, Yves s'avança rapidement vers la clochette et se baissa pour la récupérer.
C'est à ce moment que toutes les autres clochettes se mirent à carillonner...
Au bout des rouleaux
Un locataire décide de refaire son appartement.
Il commence à prendre les mesures pour savoir combien de rouleaux de papier-peint acheter, mais il s’y perd.
Et tout à coup, il se souvient que son voisin du dessus, qui a exactement le même appartement, a refait le sien trois mois plus tôt.
Il monte le voir et lui demande :
– Combien de rouleaux de dix mètres avez-vous pris ?
– Vingt-huit.
Alors il achète vingt-huit rouleaux, et il colle son papier.
Mais, quand l’appartement est terminé, il lui reste six rouleaux.
Il remonte chez son voisin et lui dit :
– Je ne comprends pas. J’ai tapissé tout l’appartement, et il me reste six rouleaux…
– Eh bien, moi c’est pareil !…
Lettre ouverte à mon patron
Ne me donnez jamais du travail le matin. Attendez toujours à 4h l’après-midi et apportez-moi le tout. Le challenge du dernière minute est toujours rafraîchissant.
Si vous me donnez un travail urgent, entrez dans mon bureau et interrompez-moi toutes les 10 minutes pour savoir où je suis rendu.
Ça aide beaucoup.
Ou, encore mieux, restez derrière moi, en me distrayant à chaque fois que je tape au clavier.
Quittez toujours le bureau sans dire à personne où vous allez et quand vous reviendrez.
Ça me donne la chance d’être créatif quand quelqu’un me demande où vous êtes.
Si j’ai les bras pleins de papiers, de boîtes ou de livres, n’ouvrez surtout pas la porte pour moi.
J’ai terriblement besoin d’apprendre comment s’y prend un paraplégique pour ouvrir une porte sans ses mains.
Si vous me donnez plus d’un travail à faire, ne me dite pas lequel je dois faire en priorité.
Je vais le lire dans ma boule de cristal.
Faites votre possible pour me garder le plus tard possible.
J’adore ce bureau et je n’ai vraiment pas d’autre endroit où aller ou autre chose à faire.
Je n’ai aucune vie autre que celle de mon travail.
Si j’ai fait un travail et que vous avez apprécié, gardez ça secret.
Si vous le dites, ça pourrait mener à une promotion.
Par contre, si vous n’aimez pas le travail que j’ai fait, dites-le à tout le monde.
J’adore entendre mon nom dans les conversations du bureau.
Je suis né pour me faire rabaisser.
Si vous avez des instructions spéciales pour un travail, ne me les dites pas.
En fait, gardez-les pour quand le travail sera terminé.
Inutile de me donner de l’information utile, tout d’un coup que ça me confondrait.
Ne me présentez jamais aux gens avec lesquels vous êtes. Je n’ai pas le droit de connaître personne.
Si vous me parlez d’eux plus tard, j’utiliserai mes déductions surnaturelles pour savoir de qui vous parlez.
Ne soyez gentils avec moi que si vous me donnez un travail à faire qui a une importance capitale.
Autrement, je n’ai pas besoin de gentillesse.
Racontez-moi tous vos petits problèmes.
Personne d’autre en a et c’est tellement agréable de savoir qu’il y en a des moins malchanceux.
En particulier des problèmes du genre que vous vous êtes fait enlever trop d’argent par l’impôt sur le chèque de bonus que vous avez obtenu.
Attendez l’évaluation annuelle des employés pour me dire qu’est-ce que j’aurais dû faire pendant l’année.
Donnez-moi une performance médiocre et n’augmentez surtout pas mon salaire.
Le coût de la vie augmentera, mais ce n’est pas grave, je ne suis pas ici pour l’argent de toute façon.
Un brave garçon est invité à dîner chez sa fiancée et ainsi faire la connaissance des parents de celle-ci.
Le repas touche à sa fin lorsque la jeune fille se plaint d’une forte migraine.
Le jeune homme l’accompagne jusqu’à sa chambre… et ne redescend qu’une heure plus tard.
Le papa de la jeune fille lit son journal dans le salon.
En voyant revenir le fiancé, il s’informe :
– Vous êtes restés bien longtemps auprès d’elle, mon garçon !
– Oui ! Elle n’était pas bien. Je lui ai donné un petit médicament.
Alors, le père observe le jeune homme, et lui répond:
– Bien, bien ! Maintenant que c’est fait, refermez donc votre armoire à pharmacie.
Sur l’autoroute, un contrôle radar enregistre une Ferrari à 19 Km/h.
Le policier qui vient d’effectuer le constat rattrape donc, en trottinant, le véhicule et tape à la vitre pour demander des explications.
Au volant, une blonde lui répond en souriant :
– Je respecte les limites de vitesse indiquées sur les panneaux. Il y a inscrit « A 19 » alors je vais à 19…
Le policier répond en souriant :
– Mais non, A19, c’est le numéro de l’autoroute, ce n’est pas la limite de vitesse !
Et regardant la passagère, il rajoute :
– Et vous devriez vous dépêcher car votre amie a l’air d’être malade. Elle est toute blanche…
Et la blonde :
– Je crois que c’est parce qu’on vient de quitter l’A313.
Ce sont un mari et sa femme qui sont invités à une réception.
A un moment, une très belle jeune femme passe devant eux.
Alors le mari dit à sa femme :
- Regarde, c'est la maîtresse de notre voisin.
Sa femme est plutôt choquée, mais ne répond rien.
Quelques minutes plus tard, une autre très belle jeune femme passe devant eux, et le mari ajoute alors :
- Et elle, c'est MA maîtresse.
L'épouse garde tout d'abord le silence, puis elle dit :
- La nôtre est mieux !
Un homme et une femme qui ont bu se posent des questions existentielles comme celle-ci :
"Qui, de l'homme ou de la femme, prend le plus de plaisir pendant l'acte sexuel ?"
L'homme dit:
- Ce sont les hommes qui prennent le plus de plaisir ! Sinon pourquoi penses-tu qu'ils aient toujours envie de faire l'amour ?
La femme répond:
- Ça ne prouve rien du tout. Réfléchis deux secondes à ça : Quand ton oreille te gratte et que tu utilises ton petit doigt, qui se sent mieux après ? Ton petit doigt ou bien ton oreille ?
Dans une caserne de Gendarmerie, le Capitaine croise un jeune élève-gendarme fraîchement débarqué de l'école de Gendarmerie.
- Comment vous appelez-vous, mon garçon ?
- Rémi, et vous ?
Le capitaine, furieux, s'écrie :
- Mon petit bonhomme, je ne sais pas d'où vous arrivez, mais sachez que je suis le Capitaine et que je m'appelle "Mon CAPITAINE". De même, dans ma compagnie, j'appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez Rémi Tartempion, je vous appellerai "Tartempion", pas Rémi. Me suis-je bien fait comprendre ?
- Oui, mon capitaine.
- Alors, c'est quoi votre nom de famille ?
- Montcherry.
- Très bien, Rémi, au travail.
C’est un grand-père qui emmène son petit-fils à la pêche.
Mais toutes les 5 minutes :
– Papy, papy, j’ai tout emmêlé la ligne.
Au bout d’un moment, le papy en a marre, et ne pense qu’à se débarrasser du gamin.
Il prend un bâton, fait un trou étroit dans le sol, et dit à son petit-fils :
– Tiens, je vais te montrer un jeu. Prend un ver de terre, et essaie de le glisser dans le trou. Si tu y arrives, je te donne 10 euros.
Évidemment, le ver se tortille sans arrêt, et c’est pas demain la veille que le petit aura réussi à le rentrer dans le trou…
Pendant ce temps, le grand-père, enfin tranquille, se remet à la pêche.
Au bout d’un moment, le petit-fils revient vers lui:
– Ça y est, j’ai fini.
Le grand-père :
– Hein ?
– Ben oui, comme le ver y bougeait tout le temps, je l’ai aspergé de laque, et j’ai pu l’enfiler dans le trou.
– Ah ! ben oui, c’est bien mon petit…
Et le lendemain matin, le grand-père de tenir sa promesse :
– Tiens, voilà tes 10 euros, et voilà 10 euros de la part de ta grand-mère…
Résurrection
Le patron à son employé:
– Est-ce que vous croyez à la vie après la mort ?
– Heu, oui patron…
– Ah ! alors tout va bien. Parce que hier, après que vous ayez quitté le travail plus tôt pour aller à l’enterrement de votre grand-mère, elle est passée pour vous donner un petit bonjour.
Une blonde se rend à la mairie pour une demande de logement.
Elle rencontre donc l’employé de mairie chargé de prendre en compte les candidatures pour ce genre de démarche.
- Asseyez-vous Madame… Je vais commencer par vous poser quelques questions pour mieux cibler votre demande, et ainsi déterminer quel type de logement vous conviendra le mieux.
- Allez-y, je suis prête, répond la blonde.
- Alors, que préférez-vous, l’habitat rural ou l’habitat urbain ?
- Ah non alors, celle de mon Édouard me suffit !
L’action se passe dans une cour d’assises.
Un homme comparait pour un double meurtre.
- Monsieur, vous êtes accusé d’avoir tué votre épouse à coups de marteau
Une voix se fait entendre dans le public : « Ah!Le Fumier va !»
- Vous êtes aussi accusé d’avoir sauvagement tué votre belle-mère à coups de marteau.
La même voix se fait entendre : «Le gros pourri ! Ah l’ordure !»
Le juge interrompt la lecture des charges et s’adresse à la personne qui exprime son dégoût :
- Monsieur, je peux comprendre que les actes commis vous répugnent et que vous exprimiez vos sentiments, mais vous êtes dans une cours d’assises et je vous demanderai donc par conséquent de respecter ce tribunal. A l’avenir, merci de réfréner vos émotions.
L’homme se lève et s’adresse au juge :
- Monsieur le juge. J’ai été le voisin de l’accusé pendant plus de 15 ans et à chaque fois que je suis allé le voir pour lui emprunter un marteau, cette ordure m’a toujours répondu qu’il n’en avait pas !
Cela me rappelle cette anecdote, dans l'Espagne franquiste et puritaine des années 60.
C'était la mode du bikini, et une touriste française prenait, sur la plage, son bain de soleil vêtue de ce deux pièces.
Un représentant de la Guardia Civil vint l'interpeller en ces termes :
" Madame, en Espagne, seul le maillot de bain une pièce est toléré ! "
" Pas de problème lui répondit le jeune femme, quelle partie voulez-vous donc que j'enlève ?"
Un homme se balade sur la plage, il trouve une lampe magique, il la frotte et un génie en sort.
Le génie lui dit:
- "Tu peux faire trois vœux !!!"
L'homme répond:
- "OK, alors, j'aimerais avoir le ventre plein, le cul au chaud et une femme qui me tienne la queue!"
Et là il se transforma en casserole...
Dans un café
Un Français est en train de déjeuner dans un café, lorsqu’un Américain, mâcheur de chewing-gum, vient s’asseoir en face de lui :
– Vous mangez tout le pain en France ?
– Bien sûr.
– Nous aux States on ne mange que la mie. La croûte, on la stocke dans des containers, puis on la transforme en croissants qu’on envoie en France
Après un petit silence, l’Américain renchérit :
– Et avec le pain, vous mangez de la confiture ?
– Bien sûr !
– Eh bien, nous on mange des fruits frais, on ramasse et on stocke les pelures dans des containers, on les transforme en confiture qu’on envoie en France !
Le Français, excédé lui demande alors :
– Et vous que faites-vous avec les préservatifs usagés ?
– On les jette bien sûr !
– Eh bien nous on les stocke dans des containers, puis on les transforme en chewing-gum qu’on envoie aux États-Unis !…
Un architecte, un artiste et un ingénieur discutent à propos des femmes. Ils se demandent quelle est la meilleure façon de passer son temps: Avec sa femme, ou avec sa maîtresse. L'architecte dit que le temps qu'il passe avec sa femme lui est précieux car il lui sert de fondation à une relation qui durera dans le temps. L'artiste dit qu'il préfère passer du temps avec sa maîtresse, à cause de la passion et du mystère qu'il trouve avec elle. L'ingénieur dit alors :
- Moi, j'aime les deux
- Les deux ?
- Oui. Si vous avez une femme ET une maîtresse, chacune d'elle pensera que vous êtes avec l'autre lorsque vous n'êtes pas avec elle, ça vous permet d'aller au bureau pour continuer à travailler!
TOUT NE PEUT PAS ETRE ROSE !
Un homme se réveille en enfer et tire légèrement la gueule...!!
Satan passe par là et l'interpelle :
- Salut toi ! Pourquoi tu fais la gueule ?
- Eh bien, premièrement je suis MORT et deuxièmement je suis en enfer.
- Pas de quoi se réjouir....!!
- Bof, tu sais, c'est pas mal ici-bas... tu fumes ?
- Quelle question, bien sûr !
- Alors tu vas aimer les lundis car pendant toute la journée on fume des cigares, des clopes, sans devoir se soucier du cancer... tu es déjà mort !
- Ouais, pas mal.
- Tu bois ?
. Comme un trou...
- Alors tu vas aimer les mardis car pendant toute la journée on picole du pinard, de la goutte, de la bière ... puis on vomit et on continue à boire sans se soucier de la cirrhose .. tu es déjà mort !
- Ah, pas mal le début de la semaine...
- Tu bouffes ?
- Comme un porc !
- Alors tu vas te régaler les mercredis car pendant toute la journée on s'empiffre de gras, de desserts, de viandes sans se soucier du cholestérol ... tu es déjà mort !
- Aaah, de mieux en mieux.
- Tu te drogues ?
- Régulièrement.
- Alors les jeudis c'est pour toi, on a tout ici herbe, poudre, seringues, on se pique sans se soucier d'une overdose... tu es déjà mort !
- Ouaiiis, super l'endroit, je ne croyais pas que c'était si cool en enfer...
-Tu baises ?
- Oh oui un max...
- Les vendredis on tire dans tous les coins, des jeunes, des vieilles dans toutes les positions, tout est permis et on ne risque pas d'attraper des saloperies, tu es déjà mort... !!!
- Putain c'est trop super l'enfer...
- T'es Pédé ?... -
- Ah non !!! !!!!
- Oulala... tu vas pas aimer le Samedi ...!!!
Bonne lecture, bons sourires et bonne journée.
Jacques.
Voici donc une nouvelle petite série de blagues.
Deux gendarmes appellent leur Compagnie et demandent à parler au Commandant :
– Nous avons un problème ici : une femme vient d’abattre son mari d’un coup de fusil parce que celui-ci a marché sur le carrelage frais lavé.
– Vous avez arrêté la femme ? demande l’Officier.
– Noooon, surtout pas... le carrelage est pas encore sec… !!!
Une dame est à la fenêtre de sa maison et voit se garer devant chez elle un camion de la D.D.E.
Un premier gars en descend, prend une pelle et creuse un trou, puis va 2 mètres plus loin et creuse un deuxième trou.
Et ainsi de suite...
Un deuxième gars sort alors du camion, prend une pelle et rebouche tous les trous que son collègue continue à creuser.
Intriguée, la dame va les voir et les interroge sur leur travail.
Et le premier agent lui répond :
- Je sais que ça peut paraître bizarre. D'habitude nous sommes trois dans l'équipe mais aujourd'hui le gars qui plante les arbres est en RTT.
Un paysan est dans un troquet en train de boire au beau milieu de la journée.
Un gars le voit et lui demande :
- Hé ! Pourquoi tu es là en train de te saouler par une belle journée comme aujourd’hui ?
- Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer...
- Qu’est-ce qui t’arrive de si grave ?
- Ben, tu vois, ce matin, j’étais dans l'étable en train de traire ma vache. A la fin, la vache a donné un coup avec sa patte gauche sur le seau et l’a renversé.
- Ça n’a pas l’air si grave que ça...
- Ouai, mais y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer...
- Qu’est-ce qui s’est passé d’autre ?
Le paysan continue :
- Là, j’ai décidé d’attacher la patte gauche de la vache au poteau pour ne pas qu’elle recommence.
- Et puis ?
- Ben, je me suis rassis et j’ai recommencé à la traire. Quelques minutes plus tard, elle a donné un coup sur le seau avec sa patte droite.
- Encore ?
- Ben oui... Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer...
- Alors, qu’est-ce que t’as fait ?
- J’ai décidé d’attacher la patte droite sur l’autre poteau pour ne pas qu’elle recommence. Là, elle ne pouvait plus donner de coup de patte puisque les deux étaient attachées de chaque côté.
- Et ça a marché ?
- Ben, je me suis rassis et j’ai recommencé à la traire. Tout allait bien, jusqu’à ce que la maudite vache donne un coup de queue et renverse le seau encore une fois.
- Ouai, ça n’allait pas bien !
- Non monsieur. Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer...
- Alors qu’est-ce que t’as fait ensuite ?
- Ben là, je n’avais plus de corde proche, alors j’ai enlevé ma ceinture pour attacher sa queue sur un poteau pour ne pas qu’elle recommence.
Comme je venais de finir d’attacher la queue, mon pantalon est tombé.
- Et alors... ? ! ? !
- Ben, c’est à ce moment que ma femme est entrée dans l'étable... Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer...
Dans une école du Médoc, l’institutrice apprend aux élèves les mesures de capacité.
Elle en arrive aux mesures des liquides et dit :
– La plus petite, c’est le millilitre. Puis viennent le centilitre, le décilitre, et la mesure de base qui est…
– Le litre ! crient les enfants.
– Très bien. Qu’y a-t-il au-dessus du litre ?
Et toute la classe en chœur répond :
– Le bouchon !
Un professeur de psychologie commence son cours :
– Aujourd’hui, nous allons étudier les différents stades de la colère.
Il fait venir un téléphone dans la salle, compose un numéro au hasard et demande :
– Bonjour Madame, pourrais-je parler à Jacques, s’il vous plaît ?
– Vous faites erreur, il n’y a pas de Jacques à ce numéro.
Il se tourne alors vers les étudiants et dit :
– Vous venez d’assister à la phase de mise en condition.
Il recommence et la dame, un peu agacée, répond :
– Je vous ai déjà dit qu’il n’y avait pas de Jacques ici !
Il réitère une bonne douzaine de fois, raccroche après s’être fait hurler dessus par cette dame devenue hystérique et s’adresse à son auditoire :
– Voilà enfin le niveau ultime de la colère.
Là-dessus, un étudiant lève la main :
– Monsieur, il y a pourtant un stade supérieur.
Et, pour illustrer, il se saisit du téléphone, compose encore une fois le même numéro et dit :
– Bonjour Madame, je suis Jacques. Y a-t-il eu des messages pour moi ?
Vous connaissiez les perles du bac, mais les élèves ne sont pas les seuls à faire des gaffes ! Mots d'excuses, coups de gueule… Voici les perles des parents d'élèves.
Mon fils n'aime pas sa maîtresse et mon mari non plus.
Ce n'est pas moi le professeur, c'est vous ! Alors ne reprochez pas à mon fils de ne rien foutre à la maison ! Chacun son boulot !
Demain mon fils sera absent car je pense qu'il sera malade vu que c'est l'examen…
Vous employez toujours des grands mots ronflants, éducation physique par exemple, alors que c'est jamais que de la gym…
Monsieur, Paul est tombé hier soir de bicyclette ; il a eu le front ouvert et le pantalon déchiré. Le docteur l'a recousu et je vous le renverrai quand il sera repassé. Mes respects.
Les calculettes c'est des inventions de feignants qui ne savent même plus compter leurs tables de multiplication sur les doigts…
Dès qu'ils rentrent de l'école, mes enfants vomissent toute votre cantine.
Ma fille a passé l'oral par écrit…
Messieurs, Je n'est pas comprit que Gérard aille un zéro en composition d'orthographe alor qu'ici il a pas de fotes dans les dictés qu'ont lui fé fer a la maison. Veullé revoir sa copie. Remerciement
À la cantine, les surveillants l'ont obligé à sucer tous les morceaux de la poule.
Monsieur veuillez excuser l'absence de mon fils, je l'ai utilisé pour mes besoins.
Si vous ne croyez pas les mots d'excuses que je fais pour mon fils, vous n'avez qu'à demander à son père puisque c'est lui qui les fait !
Madame, mon fils n'est pas venu à l'école parce que ces chaussons étaient troués.
Mon fils est intelligent comme sa mère et moi, c'est de famille chez nous…
Excusez mon fils, il a des excuses.
Ma fille ne sait toujours pas compter et on ne peut pas compter sur vous…
La première fois que l'instituteur a châtré mon fils pour une bêtise, je n'ai pas réagi. Mais quand il s'est mis à le châtrer tous les jours pour des riens du tout, juste parce que sa tête ne lui revient pas, j'ai décidé de prendre la mort aux dents.
Ayant des difficultés à retenir, je suis entièrement d'accord pour que Delphine travaille aux heures de classe.
Excusez mon fils qui a dû venir avec moi à mon enterrement.
Je refuse de vous payer l'assurance scolaire pour les petits car moi j'élève mes enfants à la dure et s'il leur arrive quelque chose c'est comme ça qu'ils apprendront que la vie c'est pas une partie de plaisir.
2 et 2 ça fait 4 et toutes vos réformes de l'enseignement n'y changeront rien !
Si vous continuez à harceler mon fils, j'irai expliquer au ministre de la Culture qui vous êtes vraiment !
Ne touchez plus ma fille, il y a déjà son père pour ça.
Non mais regardez-vous, vous vous dites professeur et vous ne savez même pas prendre ma fille dans le bon sens !
N'hésitez pas à taper sur mon fils s'il est trop discipliné.
Je vous autorise à éduquer mon fils comme moi et à lui apprendre surtout les taloches et les coups de pied au cul !
Votre exercice était tellement évident que personne n'a jamais rien compris.
Moi j'y comprends rien à vos nouvelles notes : Quand j'étais petite, ça allait de 0 à 10 et maintenant c'est des lettres de l'alphabet… A, B, C, D, pour moi c'est du charabia et je n'arrive pas à savoir si la petite est un cancre ou une bonne élève.
Madame, Mireille est rentrée hier soir avec une bonne grippe. Je lui ai fait garder le lit et lui ai donné un bon grog avec un sexe de citron. Si cela lui fait de l'effet, je la renverrai vendredi.
Madame Dupont est en deuil. Monsieur vient de passer.
Les amis, la famille défilent au domicile pour lui présenter leurs condoléances et rendre un dernier hommage au disparu, or, à chaque visite, Marie, la servante claironne :
– Médéme ! C’est une visite pour le mort !
À la fin, madame Dupont en a assez, et elle prend la petite Marie à part :
– Écoutez, ma fille, vous pourriez avoir un peu de respect, en la circonstance ! La prochaine fois, au lieu de dire « mort », vous direz « monsieur », comme lorsque mon pauvre mari était encore vivant. C’est compris ?
– Oui médéme.
C’est alors qu’on sonne à la porte, Marie se précipite, ouvre et claironne :
– Médéme ! C’est le croque-monsieur !
Un jeunot au volant d’un 4×4 Toyota customisée voit une Rolls se ranger à son côté à un feu tricolore.
Le gars dans le custom demande au chauffeur de la Rolls :
– Il y a le téléphone dans la voiture ?
– Oui, bien sûr !
– Et le fax ?
– Nous avons ça aussi !
– La télé ?
– Oui, on la regarde rarement !
– Est-ce que ça peut faire couchette pour deux personnes à l’arrière ?
Et là, le feu venant de passer au vert, le gars en Toyota démarre en trombe, laissant le chauffeur de la Rolls sur place, blême d’impuissance.
Dans l’après-midi, le proprio de la Rolls prend rendez-vous avec le garage pour une installation de couchettes à l’arrière de sa voiture.
Une semaine plus tard, il aperçoit le custom 4×4 garé sur un trottoir, les vitres arrières couvertes de buée et de la vapeur s’échappant à l’extérieur.
Le gars à la Rolls s’arrête alors et vient frapper à la vitre :
– Hé là-dedans ! …
Après plusieurs ‘toc toc’, le conducteur du 4×4 sort la tête de l’habitacle, et le chauffeur de Rolls lui dit alors :
– Dites, moi aussi j’ai une couchette pour deux personnes à l’arrière !
La réponse du gars au 4×4:
– Et c’est pour me dire ça que tu me fais sortir de la douche ?
Douze prêtres étaient sur le point d'être ordonnés.
Leur ultime épreuve était de s'aligner entièrement dénudés dans le jardin du couvent tandis qu'une belle fille très jolie, danserait complètement dévêtue devant chacun d'eux.
Chaque futur prêtre avait une clochette fixée à son s... et il était prévu que... quiconque ferait tinter sa clochette pendant qu'elle dansait ne serait pas ordonné parce qu'il n'avait pas atteint un état de pureté spirituelle.
La fille commença à danser devant le premier candidat.
Aucune réaction.
Elle procéda ainsi le long de la rangée des candidats prêtres avec la même absence totale de réaction de tous jusqu'au dernier : Yves Pauvre Yves.
Alors que la fille s'avançait vers lui en dansant, sa cloche sonna si fort qu'elle s'envola dans le jardin et atterrit loin devant lui.
Confus et honteux, Yves s'avança rapidement vers la clochette et se baissa pour la récupérer.
C'est à ce moment que toutes les autres clochettes se mirent à carillonner...
Au bout des rouleaux
Un locataire décide de refaire son appartement.
Il commence à prendre les mesures pour savoir combien de rouleaux de papier-peint acheter, mais il s’y perd.
Et tout à coup, il se souvient que son voisin du dessus, qui a exactement le même appartement, a refait le sien trois mois plus tôt.
Il monte le voir et lui demande :
– Combien de rouleaux de dix mètres avez-vous pris ?
– Vingt-huit.
Alors il achète vingt-huit rouleaux, et il colle son papier.
Mais, quand l’appartement est terminé, il lui reste six rouleaux.
Il remonte chez son voisin et lui dit :
– Je ne comprends pas. J’ai tapissé tout l’appartement, et il me reste six rouleaux…
– Eh bien, moi c’est pareil !…
Lettre ouverte à mon patron
Ne me donnez jamais du travail le matin. Attendez toujours à 4h l’après-midi et apportez-moi le tout. Le challenge du dernière minute est toujours rafraîchissant.
Si vous me donnez un travail urgent, entrez dans mon bureau et interrompez-moi toutes les 10 minutes pour savoir où je suis rendu.
Ça aide beaucoup.
Ou, encore mieux, restez derrière moi, en me distrayant à chaque fois que je tape au clavier.
Quittez toujours le bureau sans dire à personne où vous allez et quand vous reviendrez.
Ça me donne la chance d’être créatif quand quelqu’un me demande où vous êtes.
Si j’ai les bras pleins de papiers, de boîtes ou de livres, n’ouvrez surtout pas la porte pour moi.
J’ai terriblement besoin d’apprendre comment s’y prend un paraplégique pour ouvrir une porte sans ses mains.
Si vous me donnez plus d’un travail à faire, ne me dite pas lequel je dois faire en priorité.
Je vais le lire dans ma boule de cristal.
Faites votre possible pour me garder le plus tard possible.
J’adore ce bureau et je n’ai vraiment pas d’autre endroit où aller ou autre chose à faire.
Je n’ai aucune vie autre que celle de mon travail.
Si j’ai fait un travail et que vous avez apprécié, gardez ça secret.
Si vous le dites, ça pourrait mener à une promotion.
Par contre, si vous n’aimez pas le travail que j’ai fait, dites-le à tout le monde.
J’adore entendre mon nom dans les conversations du bureau.
Je suis né pour me faire rabaisser.
Si vous avez des instructions spéciales pour un travail, ne me les dites pas.
En fait, gardez-les pour quand le travail sera terminé.
Inutile de me donner de l’information utile, tout d’un coup que ça me confondrait.
Ne me présentez jamais aux gens avec lesquels vous êtes. Je n’ai pas le droit de connaître personne.
Si vous me parlez d’eux plus tard, j’utiliserai mes déductions surnaturelles pour savoir de qui vous parlez.
Ne soyez gentils avec moi que si vous me donnez un travail à faire qui a une importance capitale.
Autrement, je n’ai pas besoin de gentillesse.
Racontez-moi tous vos petits problèmes.
Personne d’autre en a et c’est tellement agréable de savoir qu’il y en a des moins malchanceux.
En particulier des problèmes du genre que vous vous êtes fait enlever trop d’argent par l’impôt sur le chèque de bonus que vous avez obtenu.
Attendez l’évaluation annuelle des employés pour me dire qu’est-ce que j’aurais dû faire pendant l’année.
Donnez-moi une performance médiocre et n’augmentez surtout pas mon salaire.
Le coût de la vie augmentera, mais ce n’est pas grave, je ne suis pas ici pour l’argent de toute façon.
Un brave garçon est invité à dîner chez sa fiancée et ainsi faire la connaissance des parents de celle-ci.
Le repas touche à sa fin lorsque la jeune fille se plaint d’une forte migraine.
Le jeune homme l’accompagne jusqu’à sa chambre… et ne redescend qu’une heure plus tard.
Le papa de la jeune fille lit son journal dans le salon.
En voyant revenir le fiancé, il s’informe :
– Vous êtes restés bien longtemps auprès d’elle, mon garçon !
– Oui ! Elle n’était pas bien. Je lui ai donné un petit médicament.
Alors, le père observe le jeune homme, et lui répond:
– Bien, bien ! Maintenant que c’est fait, refermez donc votre armoire à pharmacie.
Sur l’autoroute, un contrôle radar enregistre une Ferrari à 19 Km/h.
Le policier qui vient d’effectuer le constat rattrape donc, en trottinant, le véhicule et tape à la vitre pour demander des explications.
Au volant, une blonde lui répond en souriant :
– Je respecte les limites de vitesse indiquées sur les panneaux. Il y a inscrit « A 19 » alors je vais à 19…
Le policier répond en souriant :
– Mais non, A19, c’est le numéro de l’autoroute, ce n’est pas la limite de vitesse !
Et regardant la passagère, il rajoute :
– Et vous devriez vous dépêcher car votre amie a l’air d’être malade. Elle est toute blanche…
Et la blonde :
– Je crois que c’est parce qu’on vient de quitter l’A313.
Ce sont un mari et sa femme qui sont invités à une réception.
A un moment, une très belle jeune femme passe devant eux.
Alors le mari dit à sa femme :
- Regarde, c'est la maîtresse de notre voisin.
Sa femme est plutôt choquée, mais ne répond rien.
Quelques minutes plus tard, une autre très belle jeune femme passe devant eux, et le mari ajoute alors :
- Et elle, c'est MA maîtresse.
L'épouse garde tout d'abord le silence, puis elle dit :
- La nôtre est mieux !
Un homme et une femme qui ont bu se posent des questions existentielles comme celle-ci :
"Qui, de l'homme ou de la femme, prend le plus de plaisir pendant l'acte sexuel ?"
L'homme dit:
- Ce sont les hommes qui prennent le plus de plaisir ! Sinon pourquoi penses-tu qu'ils aient toujours envie de faire l'amour ?
La femme répond:
- Ça ne prouve rien du tout. Réfléchis deux secondes à ça : Quand ton oreille te gratte et que tu utilises ton petit doigt, qui se sent mieux après ? Ton petit doigt ou bien ton oreille ?
Dans une caserne de Gendarmerie, le Capitaine croise un jeune élève-gendarme fraîchement débarqué de l'école de Gendarmerie.
- Comment vous appelez-vous, mon garçon ?
- Rémi, et vous ?
Le capitaine, furieux, s'écrie :
- Mon petit bonhomme, je ne sais pas d'où vous arrivez, mais sachez que je suis le Capitaine et que je m'appelle "Mon CAPITAINE". De même, dans ma compagnie, j'appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez Rémi Tartempion, je vous appellerai "Tartempion", pas Rémi. Me suis-je bien fait comprendre ?
- Oui, mon capitaine.
- Alors, c'est quoi votre nom de famille ?
- Montcherry.
- Très bien, Rémi, au travail.
C’est un grand-père qui emmène son petit-fils à la pêche.
Mais toutes les 5 minutes :
– Papy, papy, j’ai tout emmêlé la ligne.
Au bout d’un moment, le papy en a marre, et ne pense qu’à se débarrasser du gamin.
Il prend un bâton, fait un trou étroit dans le sol, et dit à son petit-fils :
– Tiens, je vais te montrer un jeu. Prend un ver de terre, et essaie de le glisser dans le trou. Si tu y arrives, je te donne 10 euros.
Évidemment, le ver se tortille sans arrêt, et c’est pas demain la veille que le petit aura réussi à le rentrer dans le trou…
Pendant ce temps, le grand-père, enfin tranquille, se remet à la pêche.
Au bout d’un moment, le petit-fils revient vers lui:
– Ça y est, j’ai fini.
Le grand-père :
– Hein ?
– Ben oui, comme le ver y bougeait tout le temps, je l’ai aspergé de laque, et j’ai pu l’enfiler dans le trou.
– Ah ! ben oui, c’est bien mon petit…
Et le lendemain matin, le grand-père de tenir sa promesse :
– Tiens, voilà tes 10 euros, et voilà 10 euros de la part de ta grand-mère…
Résurrection
Le patron à son employé:
– Est-ce que vous croyez à la vie après la mort ?
– Heu, oui patron…
– Ah ! alors tout va bien. Parce que hier, après que vous ayez quitté le travail plus tôt pour aller à l’enterrement de votre grand-mère, elle est passée pour vous donner un petit bonjour.
Une blonde se rend à la mairie pour une demande de logement.
Elle rencontre donc l’employé de mairie chargé de prendre en compte les candidatures pour ce genre de démarche.
- Asseyez-vous Madame… Je vais commencer par vous poser quelques questions pour mieux cibler votre demande, et ainsi déterminer quel type de logement vous conviendra le mieux.
- Allez-y, je suis prête, répond la blonde.
- Alors, que préférez-vous, l’habitat rural ou l’habitat urbain ?
- Ah non alors, celle de mon Édouard me suffit !
L’action se passe dans une cour d’assises.
Un homme comparait pour un double meurtre.
- Monsieur, vous êtes accusé d’avoir tué votre épouse à coups de marteau
Une voix se fait entendre dans le public : « Ah!Le Fumier va !»
- Vous êtes aussi accusé d’avoir sauvagement tué votre belle-mère à coups de marteau.
La même voix se fait entendre : «Le gros pourri ! Ah l’ordure !»
Le juge interrompt la lecture des charges et s’adresse à la personne qui exprime son dégoût :
- Monsieur, je peux comprendre que les actes commis vous répugnent et que vous exprimiez vos sentiments, mais vous êtes dans une cours d’assises et je vous demanderai donc par conséquent de respecter ce tribunal. A l’avenir, merci de réfréner vos émotions.
L’homme se lève et s’adresse au juge :
- Monsieur le juge. J’ai été le voisin de l’accusé pendant plus de 15 ans et à chaque fois que je suis allé le voir pour lui emprunter un marteau, cette ordure m’a toujours répondu qu’il n’en avait pas !
Cela me rappelle cette anecdote, dans l'Espagne franquiste et puritaine des années 60.
C'était la mode du bikini, et une touriste française prenait, sur la plage, son bain de soleil vêtue de ce deux pièces.
Un représentant de la Guardia Civil vint l'interpeller en ces termes :
" Madame, en Espagne, seul le maillot de bain une pièce est toléré ! "
" Pas de problème lui répondit le jeune femme, quelle partie voulez-vous donc que j'enlève ?"
Un homme se balade sur la plage, il trouve une lampe magique, il la frotte et un génie en sort.
Le génie lui dit:
- "Tu peux faire trois vœux !!!"
L'homme répond:
- "OK, alors, j'aimerais avoir le ventre plein, le cul au chaud et une femme qui me tienne la queue!"
Et là il se transforma en casserole...
Dans un café
Un Français est en train de déjeuner dans un café, lorsqu’un Américain, mâcheur de chewing-gum, vient s’asseoir en face de lui :
– Vous mangez tout le pain en France ?
– Bien sûr.
– Nous aux States on ne mange que la mie. La croûte, on la stocke dans des containers, puis on la transforme en croissants qu’on envoie en France
Après un petit silence, l’Américain renchérit :
– Et avec le pain, vous mangez de la confiture ?
– Bien sûr !
– Eh bien, nous on mange des fruits frais, on ramasse et on stocke les pelures dans des containers, on les transforme en confiture qu’on envoie en France !
Le Français, excédé lui demande alors :
– Et vous que faites-vous avec les préservatifs usagés ?
– On les jette bien sûr !
– Eh bien nous on les stocke dans des containers, puis on les transforme en chewing-gum qu’on envoie aux États-Unis !…
Un architecte, un artiste et un ingénieur discutent à propos des femmes. Ils se demandent quelle est la meilleure façon de passer son temps: Avec sa femme, ou avec sa maîtresse. L'architecte dit que le temps qu'il passe avec sa femme lui est précieux car il lui sert de fondation à une relation qui durera dans le temps. L'artiste dit qu'il préfère passer du temps avec sa maîtresse, à cause de la passion et du mystère qu'il trouve avec elle. L'ingénieur dit alors :
- Moi, j'aime les deux
- Les deux ?
- Oui. Si vous avez une femme ET une maîtresse, chacune d'elle pensera que vous êtes avec l'autre lorsque vous n'êtes pas avec elle, ça vous permet d'aller au bureau pour continuer à travailler!
TOUT NE PEUT PAS ETRE ROSE !
Un homme se réveille en enfer et tire légèrement la gueule...!!
Satan passe par là et l'interpelle :
- Salut toi ! Pourquoi tu fais la gueule ?
- Eh bien, premièrement je suis MORT et deuxièmement je suis en enfer.
- Pas de quoi se réjouir....!!
- Bof, tu sais, c'est pas mal ici-bas... tu fumes ?
- Quelle question, bien sûr !
- Alors tu vas aimer les lundis car pendant toute la journée on fume des cigares, des clopes, sans devoir se soucier du cancer... tu es déjà mort !
- Ouais, pas mal.
- Tu bois ?
. Comme un trou...
- Alors tu vas aimer les mardis car pendant toute la journée on picole du pinard, de la goutte, de la bière ... puis on vomit et on continue à boire sans se soucier de la cirrhose .. tu es déjà mort !
- Ah, pas mal le début de la semaine...
- Tu bouffes ?
- Comme un porc !
- Alors tu vas te régaler les mercredis car pendant toute la journée on s'empiffre de gras, de desserts, de viandes sans se soucier du cholestérol ... tu es déjà mort !
- Aaah, de mieux en mieux.
- Tu te drogues ?
- Régulièrement.
- Alors les jeudis c'est pour toi, on a tout ici herbe, poudre, seringues, on se pique sans se soucier d'une overdose... tu es déjà mort !
- Ouaiiis, super l'endroit, je ne croyais pas que c'était si cool en enfer...
-Tu baises ?
- Oh oui un max...
- Les vendredis on tire dans tous les coins, des jeunes, des vieilles dans toutes les positions, tout est permis et on ne risque pas d'attraper des saloperies, tu es déjà mort... !!!
- Putain c'est trop super l'enfer...
- T'es Pédé ?... -
- Ah non !!! !!!!
- Oulala... tu vas pas aimer le Samedi ...!!!
Bonne lecture, bons sourires et bonne journée.
Jacques.
_________________
À mon très grand ami Patrice († 58).
À ma petite belle-fille Gaëlle († 31).
Décor "simpliste" sur lequel nous avions rejoué, à 9 joueurs, la Bataille d'Eylau en 1807.
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Humeur : Généralement bonne.
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