10 mars 1793 : Les Vendéens se soulèvent.
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10 mars 1793 : Les Vendéens se soulèvent.
10 mars 1793 : Les Vendéens se soulèvent.
Le dimanche 10 mars 1793, l'assemblée de la Convention recourt à la levée en masse autoritaire de 300.000 hommes dans tout le pays, pour suppléer aux insuffisances des engagements volontaires après sa proclamation du 24 février précédent sur la «patrie en danger».
La levée en masse entraîne dès le lendemain le soulèvement des paysans vendéens qui, jusque-là indifférents à l'agitation parisienne, ne supportent pas qu'on leur demande de verser leur sang pour une cause qu'ils exècrent.
Fabienne Manière.
Insupportable conscription.
Danton, le 31 janvier 1793, a proclamé devant la Convention le dogme des «frontières naturelles» qui sous-entend la conquête des Pays-Bas et de la Belgique. Les puissances européennes ripostent par une coalition. C'est pour y faire face et suppléer au manque de combattants volontaires que la Convention organise une réquisition autoritaire.
Des registres sont ouverts dans chaque commune pour l'inscription des volontaires et, si ceux-ci font défaut, les autorités organisent un tirage au sort parmi tous les jeunes hommes célibataires.
Le nombre total d'appelés (300.000) n'est pas très important au regard de la population totale (28 millions d'habitants) mais le principe de la réquisition autoritaire révulse les paysans de tout le pays. Les refus de «tirer au sort» s'étendent des Flandres aux Pyrénées, de la Bourgogne à l'Orléanais et à la Vendée. Dans le Massif central, des zones entières échappent à l'autorité révolutionnaire. Mais le plus grave survient sur la rive sud de la Loire...
La Vendée prend les armes.
Dans le bocage du Bas-Poitou (département de la Vendée), les paysans pratiquent leur religion avec piété et sérieux, comme le leur ont appris les disciples du père Louis-Marie Grignion de Monfort, décédé en 1716, qui ont revivifié les pratiques religieuses dans ces régions alors qu'elles régressaient dans le reste de la France.
Le jour de la réquisition, ces paysans, qui ont été échaudés par l'exécution du roi Louis XVI et les mesures antireligieuses des révolutionnaires parisiens, assaillent les autorités municipales. Spontanée, la rébellion couvre les Mauges, le Choletais, le bocage vendéen, le marais de Challans et le pays de Retz (toute une région du sud de la Loire qui prendra bientôt le nom de Vendée militaire). 23 insurgés sont arrêtés par les gardes nationaux à Saint-Philbert, dans le pays de Retz, en Loire-Inférieure (aujourd'hui Loire-Atlantique).
Le lendemain, la population se rassemble et décide de marcher sur Machecoul, principale bourgade de l'endroit, où se tiennent la garde nationale et la commission de recrutement. A l'entrée du bourg, la foule armée de fourches fait face aux gendarmes et aux gardes nationaux. Ceux-ci, bien qu'au nombre de plusieurs centaines, prennent peur et refluent dans les rues. La foule les poursuit. Plusieurs gardes nationaux sont massacrés ainsi que quelques bourgeois, connus pour leurs sympathies républicaines, et le curé assermenté (il a approuvé la Constitution civile du clergé).
Le 12 mars, les autorités nantaises exigent la reddition des coupables. Les insurgés se raidissent. Ils constituent un Comité royal et proclament : «Le peuple du Pays de Retz... déclare... qu'il ne reconnaît et ne reconnaîtra jamais que le Roy de France pour son seul et légitime souverain... qu'il ne reconnaît plus la prétendue Convention nationale, ni les départements, ni les districts...»
C'est le début des guerres de Vendée. Les insurgés sont des paysans, c'est-à-dire des gens du pays. La moitié sont des artisans, les autres des laboureurs ou des gens de la terre. Ils choisissent leurs chefs dans leurs rangs. Ainsi Jacques Cathelineau, colporteur voiturier au Pin-en-Mauges, Stofflet, garde-chasse des Colbert à Maulévrier.
Mais les paysans et leurs chefs manquent d'expérience militaire. Ils vont quérir en complément des chefs plus expérimentés : d'Elbée, lieutenant de cavalerie, Charette, ancien officier de marine, Bonchamps, d'Autichamp, Lescure, Sapinaud, Talmond... Ces aristocrates se montrent au départ assez réticents à prendre la tête d'une armée de paysans mais ils ne tardent pas à faire la preuve de leur sincérité militante.
Le plus hardi de ces nobles est le jeune Henri du Vergier, comte de la Roche jaquelein (20 ans). Ce sous-lieutenant de cavalerie, issu d'une famille de haute noblesse, avertit ceux qui viennent le solliciter : «Allons chercher l'ennemi : si je recule, tuez-moi ; si j'avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi».
Armés de faux et de fourches, résolus et enthousiastes, les insurgés chassent les «Bleus» (les soldats de la République étaient ainsi nommés en raison de leur uniforme) et rétablissent le culte catholique dans leurs villages.
Massacres contre massacres.
Le 19 mars, une colonne républicaine de 3000 hommes conduite par le général Marcé s'engage dans un défilé, au Pont-Charrault, près de Saint-Vincent. Attaqués depuis les hauteurs, les soldats se débandent et s'enfuient contre toute attente. Le même jour, la Convention prend un décret punissant de mort les personnes arborant la cocarde blanche du roi. Qu'à cela ne tienne, les Vendéens ont désormais le champ libre.
Le 23 mars, une bande de paysans tentent d'investir Pornic. Ils sont repoussés par les républicains qui font environ 300 prisonniers. Ces derniers sont exécutés sans façon. Apprenant cela, les insurgés de Machecoul commencent à tuer leurs propres prisonniers.
Le 27 mars, les Vendéens repartent à l'attaque de Pornic et l'emportent sous la conduite de Charette. Lorsque celui-ci revient à Machecoul avec 30 prisonniers, ces derniers passent devant un tribunal «royaliste» et sont condamnés à mort, ainsi que quelques dizaines de républicains locaux. Liés deux à deux par une corde, ils sont agenouillés près d'une fosse et fusillés. On parle à cette occasion des «chapelets de Machecoul» !
Le 22 avril, après la fuite de Charette et des insurgés, la ville est reconquise par les républicains, sous la conduite du général Beysser. Mais, entre-temps, la guerre civile s'est étendue à toute la région.
La guerre civile s'étend.
Dans les villes de la région, à Beaupréau, à Vihiers, à Cholet le 17 mars, Chemillé le 11 avril, Bressuire le 12 mai, Thouars le 5, Fontenay le 25, Saumur le 9 juin, les insurgés trouvent les fusils et les canons qui leur manquent.
Prenant de l'assurance, ils constituent une «armée catholique et royale». Cette armée est formée d'environ 40.000 hommes indisciplinés et sans expérience militaire à l'exception d'une dizaine de milliers d'anciens soldats. La plupart ne se privent pas de rentrer chez eux quand cela leur chante ou sitôt que le danger est passé. Cette armée va néanmoins aller de succès en succès jusqu'à conquérir Angers le 18 juin. Face à elle, les 40.000 à 70.000 Bleus n'ont dans l'ensemble guère plus d'expérience militaire. Ce sont pour la plupart des volontaires issus des différentes régions du pays.
Cathelineau, le général en chef vendéen, échoue devant Nantes le 29 juin. Blessé, il est transporté à Saint-Florent et y meurt le 14 juillet 1793. D'Elbée le remplace comme généralissime.
Le 1er août, un décret de la Convention ordonne la destruction et l'incendie de la Vendée en état d'insurrection. La mise en oeuvre de ce plan est confiée au général François Westermann.
La Convention décrète...
Article premier :
Le ministre de la guerre donnera sur-le-champ les ordres nécessaire pour que la garnison de Mayence soit transportée en poste dans la Vendée ; Il sera envoyé par le ministre de la guerre des matières combustibles de toute espèce, pour incendier les bois, les taillis et les genêts... Les femmes, les enfants et les vieillards, seront conduits dans l'intérieur ; il sera pourvu à leur subsistance et à leur sûreté, avec tous les égards dus à l'humanité... Les biens des rebelles de la Vendée sont déclarés appartenir à la république.
(Extrait du décret de la convention nationale du 1er août 1793, A.D.V., 52J4).
Le 14 août, l'«armée catholique et royale» défait les républicains dans la plaine de Luçon. En deux jours, plus de cent villages de l'Ouest se rebellent. Dès la fin du mois, 20.000 insurgés se rendent maîtres de la région et en excluent ou massacrent les républicains. Ils menacent de marcher sur Paris.
Prenant la mesure du péril, la Convention envoie en Vendée 100.000 hommes, dont les invincibles «Mayençais», des soldats d'élite qui ont capitulé avec honneur à Mayence, sur le Rhin. Ils sont placés sous les ordres de Kléber et Haxo. Du 19 au 22 septembre, les royalistes remportent encore cinq victoires en cinq jours, à Torfou, le Pont-Barré, Montaigu, Clisson et Saint-Fulgent. Ils mettent les républicains en déroute.
Mais les chefs vendéens commencent à se disputer. C'est ainsi que, le 17 octobre 1793, ils éprouvent à Cholet leur premier revers grave. Ce n'est que le début de longues épreuves qui feront au total plus de cent mille victimes. Par leur férocité, les guerres vendéennes n'auront rien à envier aux guerres étrangères de la Révolution.
Une semaine d'Histoire du 5 Mars 2012 au 11 Mars 2012 avec Herodote.net
Le dimanche 10 mars 1793, l'assemblée de la Convention recourt à la levée en masse autoritaire de 300.000 hommes dans tout le pays, pour suppléer aux insuffisances des engagements volontaires après sa proclamation du 24 février précédent sur la «patrie en danger».
La levée en masse entraîne dès le lendemain le soulèvement des paysans vendéens qui, jusque-là indifférents à l'agitation parisienne, ne supportent pas qu'on leur demande de verser leur sang pour une cause qu'ils exècrent.
Fabienne Manière.
Insupportable conscription.
Danton, le 31 janvier 1793, a proclamé devant la Convention le dogme des «frontières naturelles» qui sous-entend la conquête des Pays-Bas et de la Belgique. Les puissances européennes ripostent par une coalition. C'est pour y faire face et suppléer au manque de combattants volontaires que la Convention organise une réquisition autoritaire.
Des registres sont ouverts dans chaque commune pour l'inscription des volontaires et, si ceux-ci font défaut, les autorités organisent un tirage au sort parmi tous les jeunes hommes célibataires.
Le nombre total d'appelés (300.000) n'est pas très important au regard de la population totale (28 millions d'habitants) mais le principe de la réquisition autoritaire révulse les paysans de tout le pays. Les refus de «tirer au sort» s'étendent des Flandres aux Pyrénées, de la Bourgogne à l'Orléanais et à la Vendée. Dans le Massif central, des zones entières échappent à l'autorité révolutionnaire. Mais le plus grave survient sur la rive sud de la Loire...
La Vendée prend les armes.
Dans le bocage du Bas-Poitou (département de la Vendée), les paysans pratiquent leur religion avec piété et sérieux, comme le leur ont appris les disciples du père Louis-Marie Grignion de Monfort, décédé en 1716, qui ont revivifié les pratiques religieuses dans ces régions alors qu'elles régressaient dans le reste de la France.
Le jour de la réquisition, ces paysans, qui ont été échaudés par l'exécution du roi Louis XVI et les mesures antireligieuses des révolutionnaires parisiens, assaillent les autorités municipales. Spontanée, la rébellion couvre les Mauges, le Choletais, le bocage vendéen, le marais de Challans et le pays de Retz (toute une région du sud de la Loire qui prendra bientôt le nom de Vendée militaire). 23 insurgés sont arrêtés par les gardes nationaux à Saint-Philbert, dans le pays de Retz, en Loire-Inférieure (aujourd'hui Loire-Atlantique).
Le lendemain, la population se rassemble et décide de marcher sur Machecoul, principale bourgade de l'endroit, où se tiennent la garde nationale et la commission de recrutement. A l'entrée du bourg, la foule armée de fourches fait face aux gendarmes et aux gardes nationaux. Ceux-ci, bien qu'au nombre de plusieurs centaines, prennent peur et refluent dans les rues. La foule les poursuit. Plusieurs gardes nationaux sont massacrés ainsi que quelques bourgeois, connus pour leurs sympathies républicaines, et le curé assermenté (il a approuvé la Constitution civile du clergé).
Le 12 mars, les autorités nantaises exigent la reddition des coupables. Les insurgés se raidissent. Ils constituent un Comité royal et proclament : «Le peuple du Pays de Retz... déclare... qu'il ne reconnaît et ne reconnaîtra jamais que le Roy de France pour son seul et légitime souverain... qu'il ne reconnaît plus la prétendue Convention nationale, ni les départements, ni les districts...»
C'est le début des guerres de Vendée. Les insurgés sont des paysans, c'est-à-dire des gens du pays. La moitié sont des artisans, les autres des laboureurs ou des gens de la terre. Ils choisissent leurs chefs dans leurs rangs. Ainsi Jacques Cathelineau, colporteur voiturier au Pin-en-Mauges, Stofflet, garde-chasse des Colbert à Maulévrier.
Mais les paysans et leurs chefs manquent d'expérience militaire. Ils vont quérir en complément des chefs plus expérimentés : d'Elbée, lieutenant de cavalerie, Charette, ancien officier de marine, Bonchamps, d'Autichamp, Lescure, Sapinaud, Talmond... Ces aristocrates se montrent au départ assez réticents à prendre la tête d'une armée de paysans mais ils ne tardent pas à faire la preuve de leur sincérité militante.
Le plus hardi de ces nobles est le jeune Henri du Vergier, comte de la Roche jaquelein (20 ans). Ce sous-lieutenant de cavalerie, issu d'une famille de haute noblesse, avertit ceux qui viennent le solliciter : «Allons chercher l'ennemi : si je recule, tuez-moi ; si j'avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi».
Armés de faux et de fourches, résolus et enthousiastes, les insurgés chassent les «Bleus» (les soldats de la République étaient ainsi nommés en raison de leur uniforme) et rétablissent le culte catholique dans leurs villages.
Massacres contre massacres.
Le 19 mars, une colonne républicaine de 3000 hommes conduite par le général Marcé s'engage dans un défilé, au Pont-Charrault, près de Saint-Vincent. Attaqués depuis les hauteurs, les soldats se débandent et s'enfuient contre toute attente. Le même jour, la Convention prend un décret punissant de mort les personnes arborant la cocarde blanche du roi. Qu'à cela ne tienne, les Vendéens ont désormais le champ libre.
Le 23 mars, une bande de paysans tentent d'investir Pornic. Ils sont repoussés par les républicains qui font environ 300 prisonniers. Ces derniers sont exécutés sans façon. Apprenant cela, les insurgés de Machecoul commencent à tuer leurs propres prisonniers.
Le 27 mars, les Vendéens repartent à l'attaque de Pornic et l'emportent sous la conduite de Charette. Lorsque celui-ci revient à Machecoul avec 30 prisonniers, ces derniers passent devant un tribunal «royaliste» et sont condamnés à mort, ainsi que quelques dizaines de républicains locaux. Liés deux à deux par une corde, ils sont agenouillés près d'une fosse et fusillés. On parle à cette occasion des «chapelets de Machecoul» !
Le 22 avril, après la fuite de Charette et des insurgés, la ville est reconquise par les républicains, sous la conduite du général Beysser. Mais, entre-temps, la guerre civile s'est étendue à toute la région.
La guerre civile s'étend.
Dans les villes de la région, à Beaupréau, à Vihiers, à Cholet le 17 mars, Chemillé le 11 avril, Bressuire le 12 mai, Thouars le 5, Fontenay le 25, Saumur le 9 juin, les insurgés trouvent les fusils et les canons qui leur manquent.
Prenant de l'assurance, ils constituent une «armée catholique et royale». Cette armée est formée d'environ 40.000 hommes indisciplinés et sans expérience militaire à l'exception d'une dizaine de milliers d'anciens soldats. La plupart ne se privent pas de rentrer chez eux quand cela leur chante ou sitôt que le danger est passé. Cette armée va néanmoins aller de succès en succès jusqu'à conquérir Angers le 18 juin. Face à elle, les 40.000 à 70.000 Bleus n'ont dans l'ensemble guère plus d'expérience militaire. Ce sont pour la plupart des volontaires issus des différentes régions du pays.
Cathelineau, le général en chef vendéen, échoue devant Nantes le 29 juin. Blessé, il est transporté à Saint-Florent et y meurt le 14 juillet 1793. D'Elbée le remplace comme généralissime.
Le 1er août, un décret de la Convention ordonne la destruction et l'incendie de la Vendée en état d'insurrection. La mise en oeuvre de ce plan est confiée au général François Westermann.
La Convention décrète...
Article premier :
Le ministre de la guerre donnera sur-le-champ les ordres nécessaire pour que la garnison de Mayence soit transportée en poste dans la Vendée ; Il sera envoyé par le ministre de la guerre des matières combustibles de toute espèce, pour incendier les bois, les taillis et les genêts... Les femmes, les enfants et les vieillards, seront conduits dans l'intérieur ; il sera pourvu à leur subsistance et à leur sûreté, avec tous les égards dus à l'humanité... Les biens des rebelles de la Vendée sont déclarés appartenir à la république.
(Extrait du décret de la convention nationale du 1er août 1793, A.D.V., 52J4).
Le 14 août, l'«armée catholique et royale» défait les républicains dans la plaine de Luçon. En deux jours, plus de cent villages de l'Ouest se rebellent. Dès la fin du mois, 20.000 insurgés se rendent maîtres de la région et en excluent ou massacrent les républicains. Ils menacent de marcher sur Paris.
Prenant la mesure du péril, la Convention envoie en Vendée 100.000 hommes, dont les invincibles «Mayençais», des soldats d'élite qui ont capitulé avec honneur à Mayence, sur le Rhin. Ils sont placés sous les ordres de Kléber et Haxo. Du 19 au 22 septembre, les royalistes remportent encore cinq victoires en cinq jours, à Torfou, le Pont-Barré, Montaigu, Clisson et Saint-Fulgent. Ils mettent les républicains en déroute.
Mais les chefs vendéens commencent à se disputer. C'est ainsi que, le 17 octobre 1793, ils éprouvent à Cholet leur premier revers grave. Ce n'est que le début de longues épreuves qui feront au total plus de cent mille victimes. Par leur férocité, les guerres vendéennes n'auront rien à envier aux guerres étrangères de la Révolution.
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À mon très grand ami Patrice († 58).
À ma petite belle-fille Gaëlle († 31).
Décor "simpliste" sur lequel nous avions rejoué, à 9 joueurs, la Bataille d'Eylau en 1807.
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