5 mai 1821 : Mort de Napoléon 1er à Sainte-Hélène.
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5 mai 1821 : Mort de Napoléon 1er à Sainte-Hélène.
5 mai 1821 : Mort de Napoléon I° à Sainte-Hélène.
Le 5 mai 1821, Napoléon I° s'éteint dans sa maison de Longwood, à Sainte-Hélène, un îlot où l'ont exilé les Anglais en 1815 après la défaite de Waterloo et son abdication. Il n'a pas 52 ans.
Un sursaut de courte durée
Exilé une première fois sur l'île d'Elbe, au large de la Toscane, à la suite de la défaite de l'armée impériale face à une coalition de puissances européennes, en 1814, Napoléon I° n'avait pas dit son dernier mot.
Pour racheter l'humiliation de cette abdication forcée, il échappe à la surveillance anglaise et regagne le continent, où il prend la tête d'une armée de près de 130 000 hommes.
Le 18 juin 1815, la défaite de Waterloo, face aux Prussiens de Blücher et aux Anglais de Wellington, vient mettre fin à ces «Cent Jours» napoléoniens.
Hors la loi
Mis hors la loi par les représentants des puissances européennes réunis en congrès à Vienne, Napoléon I° comprend qu'il n'avait aucune indulgence à attendre d'eux.
Avec un dernier carré de fidèles, il quitte Paris pour Rochefort, un port de l'Atlantique, en entretenant l'espoir d'une fuite aux États-Unis.
Mais la flotte anglaise bloque le port. Le voilà à la merci des Anglais, qui ne cachent pas leur haine de «Bony», surnom donné à Bonaparte.
Contraint de se livrer aux Anglais, l'empereur déchu embarque sur un de leurs navires.
Il est conduit à Sainte-Hélène, une île de l'Atlantique sud, à 1.850 km de la côte africaine, qui offre peu d'espoir d'évasion.
On lui laisse choisir trois officiers pour l'accompagner.
Suivent leurs épouses, un valet de chambre, un maître d'hôtel, un chirurgien et quelques autres domestiques.
Tout ce petit monde s'installe dans une maison de maître en partie délabrée, Longwood, sur les hauteurs de Sainte-Hélène.
Pendant ses deux mille jours d'exil, l'ex-empereur peaufine sa légende en dictant ses souvenirs et ses réflexions au comte de Las Cases ainsi qu'à Bertrand, Gourgaud et Montholon.
Publié l'année suivant la mort de Napoléon, Le Mémorial de Sainte-Hélène connaîtra un succès immédiat en France et nourrira la légende napoléonienne.
La fin de l'épopée
Napoléon ressent en mars 1820 une première violente douleur au ventre.
Dans les mois qui suivent, son état se dégrade très vite...
Selon le diagnostic publié après son autopsie, sa mort aurait été provoquée par un cancer de l'estomac, sans doute accéléré par l'amertume de l'exil.
En 1961, un toxicologue suédois évoque pour la première fois l'hypothèse d'un empoisonnement à l'arsenic de l'empereur, sur la base d'une analyse de quelques cheveux rapportés de Sainte-Hélène.
Plusieurs chercheurs l'ont reprise depuis lors mais elle paraît peu plausible.
En 1840, le président du Conseil, Adolphe Thiers, négocie avec Londres le retour des cendres de Napoléon à Paris.
Le transfert donne lieu à une cérémonie grandiose à laquelle assistent un million de Français enthousiastes qui n'hésitent pas à crier «Vive l'Empereur !».
Napoléon I° repose depuis lors aux Invalides.
Le principal bénéficiaire de l'opération est le courant bonapartiste.
Celui-ci reprend vie et il ne lui faudra que huit ans pour amener au pouvoir Louis-Napoléon Bonaparte, neveu du regretté empereur.
Une semaine d'Histoire du 30 Avril 2012 au 6 Mai 2012 avec Herodote.net
Le 5 mai 1821, Napoléon I° s'éteint dans sa maison de Longwood, à Sainte-Hélène, un îlot où l'ont exilé les Anglais en 1815 après la défaite de Waterloo et son abdication. Il n'a pas 52 ans.
Un sursaut de courte durée
Exilé une première fois sur l'île d'Elbe, au large de la Toscane, à la suite de la défaite de l'armée impériale face à une coalition de puissances européennes, en 1814, Napoléon I° n'avait pas dit son dernier mot.
Pour racheter l'humiliation de cette abdication forcée, il échappe à la surveillance anglaise et regagne le continent, où il prend la tête d'une armée de près de 130 000 hommes.
Le 18 juin 1815, la défaite de Waterloo, face aux Prussiens de Blücher et aux Anglais de Wellington, vient mettre fin à ces «Cent Jours» napoléoniens.
Hors la loi
Mis hors la loi par les représentants des puissances européennes réunis en congrès à Vienne, Napoléon I° comprend qu'il n'avait aucune indulgence à attendre d'eux.
Avec un dernier carré de fidèles, il quitte Paris pour Rochefort, un port de l'Atlantique, en entretenant l'espoir d'une fuite aux États-Unis.
Mais la flotte anglaise bloque le port. Le voilà à la merci des Anglais, qui ne cachent pas leur haine de «Bony», surnom donné à Bonaparte.
Contraint de se livrer aux Anglais, l'empereur déchu embarque sur un de leurs navires.
Il est conduit à Sainte-Hélène, une île de l'Atlantique sud, à 1.850 km de la côte africaine, qui offre peu d'espoir d'évasion.
On lui laisse choisir trois officiers pour l'accompagner.
Suivent leurs épouses, un valet de chambre, un maître d'hôtel, un chirurgien et quelques autres domestiques.
Tout ce petit monde s'installe dans une maison de maître en partie délabrée, Longwood, sur les hauteurs de Sainte-Hélène.
Pendant ses deux mille jours d'exil, l'ex-empereur peaufine sa légende en dictant ses souvenirs et ses réflexions au comte de Las Cases ainsi qu'à Bertrand, Gourgaud et Montholon.
Publié l'année suivant la mort de Napoléon, Le Mémorial de Sainte-Hélène connaîtra un succès immédiat en France et nourrira la légende napoléonienne.
La fin de l'épopée
Napoléon ressent en mars 1820 une première violente douleur au ventre.
Dans les mois qui suivent, son état se dégrade très vite...
Selon le diagnostic publié après son autopsie, sa mort aurait été provoquée par un cancer de l'estomac, sans doute accéléré par l'amertume de l'exil.
En 1961, un toxicologue suédois évoque pour la première fois l'hypothèse d'un empoisonnement à l'arsenic de l'empereur, sur la base d'une analyse de quelques cheveux rapportés de Sainte-Hélène.
Plusieurs chercheurs l'ont reprise depuis lors mais elle paraît peu plausible.
En 1840, le président du Conseil, Adolphe Thiers, négocie avec Londres le retour des cendres de Napoléon à Paris.
Le transfert donne lieu à une cérémonie grandiose à laquelle assistent un million de Français enthousiastes qui n'hésitent pas à crier «Vive l'Empereur !».
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Dernière édition par Jacknap1948 le Mar 5 Mai 2015 - 16:26, édité 1 fois
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À mon très grand ami Patrice († 58).
À ma petite belle-fille Gaëlle († 31).
Décor "simpliste" sur lequel nous avions rejoué, à 9 joueurs, la Bataille d'Eylau en 1807.
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Re: 5 mai 1821 : Mort de Napoléon 1er à Sainte-Hélène.
Salut Steve.dragonww2 a écrit:Merci Jacques!!!
Merci de ta visite.
Jacques.
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Re: 5 mai 1821 : Mort de Napoléon 1er à Sainte-Hélène.
Salut à tous.Jacknap1948 a écrit:5 mai 1821 : Mort de Napoléon I° à Sainte-Hélène.
Le 5 mai 1821, Napoléon I° s'éteint dans sa maison de Longwood, à Sainte-Hélène, un îlot où l'ont exilé les Anglais en 1815 après la défaite de Waterloo et son abdication. Il n'a pas 52 ans.
Un sursaut de courte durée
Exilé une première fois sur l'île d'Elbe, au large de la Toscane, à la suite de la défaite de l'armée impériale face à une coalition de puissances européennes, en 1814, Napoléon I° n'avait pas dit son dernier mot.
Pour racheter l'humiliation de cette abdication forcée, il échappe à la surveillance anglaise et regagne le continent, où il prend la tête d'une armée de près de 130 000 hommes.
Le 18 juin 1815, la défaite de Waterloo, face aux Prussiens de Blücher et aux Anglais de Wellington, vient mettre fin à ces «Cent Jours» napoléoniens.
Hors la loi
Mis hors la loi par les représentants des puissances européennes réunis en congrès à Vienne, Napoléon I° comprend qu'il n'avait aucune indulgence à attendre d'eux.
Avec un dernier carré de fidèles, il quitte Paris pour Rochefort, un port de l'Atlantique, en entretenant l'espoir d'une fuite aux États-Unis.
Mais la flotte anglaise bloque le port. Le voilà à la merci des Anglais, qui ne cachent pas leur haine de «Bony», surnom donné à Bonaparte.
Contraint de se livrer aux Anglais, l'empereur déchu embarque sur un de leurs navires.
Il est conduit à Sainte-Hélène, une île de l'Atlantique sud, à 1.850 km de la côte africaine, qui offre peu d'espoir d'évasion.
On lui laisse choisir trois officiers pour l'accompagner.
Suivent leurs épouses, un valet de chambre, un maître d'hôtel, un chirurgien et quelques autres domestiques.
Tout ce petit monde s'installe dans une maison de maître en partie délabrée, Longwood, sur les hauteurs de Sainte-Hélène.
Pendant ses deux mille jours d'exil, l'ex-empereur peaufine sa légende en dictant ses souvenirs et ses réflexions au comte de Las Cases ainsi qu'à Bertrand, Gourgaud et Montholon.
Publié l'année suivant la mort de Napoléon, Le Mémorial de Sainte-Hélène connaîtra un succès immédiat en France et nourrira la légende napoléonienne.
La fin de l'épopée
Napoléon ressent en mars 1820 une première violente douleur au ventre.
Dans les mois qui suivent, son état se dégrade très vite...
Selon le diagnostic publié après son autopsie, sa mort aurait été provoquée par un cancer de l'estomac, sans doute accéléré par l'amertume de l'exil.
En 1961, un toxicologue suédois évoque pour la première fois l'hypothèse d'un empoisonnement à l'arsenic de l'empereur, sur la base d'une analyse de quelques cheveux rapportés de Sainte-Hélène.
Plusieurs chercheurs l'ont reprise depuis lors mais elle paraît peu plausible.
En 1840, le président du Conseil, Adolphe Thiers, négocie avec Londres le retour des cendres de Napoléon à Paris.
Le transfert donne lieu à une cérémonie grandiose à laquelle assistent un million de Français enthousiastes qui n'hésitent pas à crier «Vive l'Empereur !».
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Pour ne pas ouvrir un nouveau sujet un rappel.
Bonne fin de journée et à plus tard.
Jacques.
Source : Une semaine d'Histoire du 4 Mai 2015 au 10 Mai 2015 avec Herodote.net
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Re: 5 mai 1821 : Mort de Napoléon 1er à Sainte-Hélène.
Salut à tous.Jacknap1948 a écrit:5 mai 1821 : Mort de Napoléon I° à Sainte-Hélène.
Napoléon sur son lit de mort (Toile de Steuben).
Le 5 mai 1821, Napoléon I° s'éteint dans sa maison de Longwood, à Sainte-Hélène, un îlot où l'ont exilé les Anglais en 1815 après la défaite de Waterloo et son abdication.
Il n'a pas 52 ans.
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Exilé une première fois sur l'île d'Elbe, au large de la Toscane, à la suite de la défaite de l'armée impériale face à une coalition de puissances européennes, en 1814, Napoléon I° n'avait pas dit son dernier mot.
Pour racheter l'humiliation de cette abdication forcée, il échappe à la surveillance anglaise et regagne le continent, où il prend la tête d'une armée de près de 130 000 hommes.
Le 18 juin 1815, la défaite de Waterloo, face aux Prussiens de Blücher et aux Anglais de Wellington, vient mettre fin à ces «Cent Jours» napoléoniens.
Hors la loi
Mis hors la loi par les représentants des puissances européennes réunis en congrès à Vienne, Napoléon I° comprend qu'il n'avait aucune indulgence à attendre d'eux.
Avec un dernier carré de fidèles, il quitte Paris pour Rochefort, un port de l'Atlantique, en entretenant l'espoir d'une fuite aux États-Unis.
Mais la flotte anglaise bloque le port. Le voilà à la merci des Anglais, qui ne cachent pas leur haine de «Bony», surnom donné à Bonaparte.
Contraint de se livrer aux Anglais, l'empereur déchu embarque sur un de leurs navires.
Il est conduit à Sainte-Hélène, une île de l'Atlantique sud, à 1.850 km de la côte africaine, qui offre peu d'espoir d'évasion.
On lui laisse choisir trois officiers pour l'accompagner.
Suivent leurs épouses, un valet de chambre, un maître d'hôtel, un chirurgien et quelques autres domestiques.
Tout ce petit monde s'installe dans une maison de maître en partie délabrée, Longwood, sur les hauteurs de Sainte-Hélène.
Pendant ses deux mille jours d'exil, l'ex-empereur peaufine sa légende en dictant ses souvenirs et ses réflexions au comte de Las Cases ainsi qu'à Bertrand, Gourgaud et Montholon.
Publié l'année suivant la mort de Napoléon, Le Mémorial de Sainte-Hélène connaîtra un succès immédiat en France et nourrira la légende napoléonienne.
La fin de l'épopée
Napoléon ressent en mars 1820 une première violente douleur au ventre.
Dans les mois qui suivent, son état se dégrade très vite...
Selon le diagnostic publié après son autopsie, sa mort aurait été provoquée par un cancer de l'estomac, sans doute accéléré par l'amertume de l'exil.
En 1961, un toxicologue suédois évoque pour la première fois l'hypothèse d'un empoisonnement à l'arsenic de l'empereur, sur la base d'une analyse de quelques cheveux rapportés de Sainte-Hélène.
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En 1840, le président du Conseil, Adolphe Thiers, négocie avec Londres le retour des cendres de Napoléon à Paris.
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Napoléon I° repose depuis lors aux Invalides.
Le principal bénéficiaire de l'opération est le courant bonapartiste.
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Pour ne pas ouvrir un nouveau sujet un rappel.
Bonne fin de journée et à plus tard.
Jacques.
Une semaine d'Histoire du 2 Mai 2016 au 8 Mai 2016 avec Herodote.net
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Re: 5 mai 1821 : Mort de Napoléon 1er à Sainte-Hélène.
La mort d'un grand homme qui créera beaucoup de polémiques.
Merci Jacques pour ce rappel.
Merci Jacques pour ce rappel.
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paszim- Modérateur
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Re: 5 mai 1821 : Mort de Napoléon 1er à Sainte-Hélène.
Salut Pascal.paszim a écrit:La mort d'un grand homme qui créera beaucoup de polémiques. Merci Jacques pour ce rappel.
Merci de ta visite.
Bonne journée et à plus tard.
Jacques.
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