15 août 1944 : Débarquement de Provence.
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GermanKits :: L'Histoire jour après jour, Grandes batailles de blindés, Faits d'armes, Guerre après 1945. :: L'Histoire jour après jour, du Kaiser (1914) au Führer (1945). :: Ça c'est passé un jour d'Août (de 1914 à 1945).
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15 août 1944 : Débarquement de Provence.
15 août 1944 : Débarquement de Provence.
Le 15 août 1944, les Alliés débarquent en Provence.
Aux côtés des troupes anglo-saxonnes figure un puissant corps d'armée constitué de 120.000 Français Libres (y compris de nombreux soldats des colonies) sous le commandement du général Jean de Lattre de Tassigny.
C'est le troisième débarquement après ceux de Sicile et de Normandie.
Une semaine d'Histoire du 15 Août 2011 au 21 Août 2011 avec Herodote.net
Le 15 août 1944, les Alliés débarquent en Provence.
Aux côtés des troupes anglo-saxonnes figure un puissant corps d'armée constitué de 120.000 Français Libres (y compris de nombreux soldats des colonies) sous le commandement du général Jean de Lattre de Tassigny.
C'est le troisième débarquement après ceux de Sicile et de Normandie.
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Jacknap1948- Administrateur
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Re: 15 août 1944 : Débarquement de Provence.
Salut Steve.dragonww2 a écrit:Merci Jacques!!!
Merci de ta visite.
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Re: 15 août 1944 : Débarquement de Provence.
Merci pour le rappel Jacques!
Panzerelite3945- General
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Re: 15 août 1944 : Débarquement de Provence.
Salut Cédric.Panzerelite3945 a écrit:Merci pour le rappel Jacques!
Merci de ta visite.
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Re: 15 août 1944 : Débarquement de Provence.
Merci Jacques pour ces informations.
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paszim- Modérateur
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Re: 15 août 1944 : Débarquement de Provence.
Salut Pascal.paszim a écrit:Merci Jacques pour ces informations.
Merci de ta visite.
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L'Histoire
Merci Jacques.
PanzerII- Oberst
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Re: 15 août 1944 : Débarquement de Provence.
Salut Mike.PanzerII a écrit: Merci Jacques.
Merci de ta visite.
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15 août 1944 : Débarquement de Provence.
15 août 1944 : Débarquement de Provence.
Le 15 août 1944, à 8h, les Alliés débarquent en Provence, sur dix-huit plages entre Toulon et Cannes.
Aux côtés des troupes anglo-saxonnes figure un puissant corps d'armée constitué de 120.000 Français Libres sous le commandement du général Jean de Lattre de Tassigny.
C'est le troisième débarquement après ceux de Sicile et de Normandie.
Le débarquement proprement dit se déroule plutôt bien, car une bonne partie des troupes allemandes ont été rappelées vers le front de Normandie, ouvert deux mois plus tôt.
Toutefois, la prise de Marseille et de Toulon va se heurter à une forte résistance de l'occupant.
Les troupes françaises remontent vers Toulon après être débarquées près de Saint-Tropez (photo : ECPAD)
Un soutien bienvenu à Overlord et à la libération de la France
Baptisé Anvil (« Enclume ») puis Dragoon (« Dragon »), le débarquement de Provence a été décalé de plus de deux mois par rapport à celui de Normandie car les Alliés ne disposaient pas d'assez de bateaux de transport pour mener les deux de front.
Sa direction est confiée au général Alexander Patch, qui commande la VIIe Armée américaine.
Jean de Lattre de Tassigny (2 février 1889, Mouilleron-en-Pareds - 11 janvier 1952, Neuilly-sur-Seine), photo : ECPAD
Pour la première fois, c'est une véritable armée française, sous les ordres du général Jean de Lattre de Tassigny, qui débarque sur les côtes nationales.
Forte de 260.000 hommes, elle est constituée de volontaires de la France Libre et surtout d'anciens soldats de l'armée d'armistice, qui étaient aux ordres de Vichy.
Elle recense aussi des conscrits d'Afrique du Nord, « pieds-noirs » et musulmans à part égale.
Cette armée, qui réconcilie la France collaborationniste et la France résistante, va débarquer par vagues successives sur les côtes de Provence, aux côtés des Anglo-Saxons.
Pendant que ces derniers s'engouffreront dans la vallée du Rhône, c'est elle qui va conduire l'assaut contre Toulon et Marseille.
Une progression plus rapide que prévu
Comme tout le littoral européen, la côte provençale a été dotée par les Allemands de solides fortifications : blockaus (casemates) et mines.
Mais dès le 27 mai 1944, l'aviation alliée a bombardé tous les sites stratégiques de la côte, comme la gare Saint-Charles de Marseille, et, comme en Normandie, la Résistance intérieure s'est mobilisée pour empêcher par des sabotages tout repli de l'occupant.
Robert T. Frederick, commandant de la 1st Airborne, le 15 août 1944 (14 mars 1907, San Francisco - 29 novembre 1970, Stanford)
Dans la nuit du 14 au 15 août 1944, neuf mille parachutistes anglo-saxons sous les ordres du général américain Robert T. Frederick, sont largués dans l'arrière-pays, entre les massifs des Maures et de l'Estérel.
Ils s'assurent le contrôle des routes et marchent sans attendre vers Cannes.
À l'aube arrivent les premiers navires, avec une solide couverture aérienne qui permettra qu'aucun ne soit coulé.
Ces navires sont partis pour certains dès le 4 août, d'Afrique du Nord ou d'Italie du Sud.
En deux jours, 115.000 hommes touchent terre.
L'assaut a été si rapide que les Allemands ont eu à peine le temps de réagir et l'on ne comptera que quelques dizaines de victimes parmi les Alliés.
Dès le 19 août 1944, les Allemands reçoivent de leur hiérarchie l'ordre de se replier, à l'exception des garnisons de Toulon et Marseille qui ont ordre de résister coûte que coûte.
Toulon et Marseille libérées
Les Américains du général Patch se dirigent à marches forcées vers la vallée du Rhône sans rencontrer de véritable résistance, atteignant Lyon dès le 3 septembre 1944.
Ils font leur jonction avec l'armée de Patton, venue de Normandie, le 12 septembre 1944, à la hauteur de Dijon.
Pour les Français, le plus dur reste à faire.
À Toulon résistent dix-huit mille soldats de la Wehrmacht sous les ordres du contre-amiral Heinrich Ruhfuss. Ils ne se rendront que le 26 août.
À Marseille, la population se soulève dès le 19 août 1944 mais le général allemand Hans Schaeffer, qui tient la ville avec 20.000 hommes, ne cessera la résistance que le 28 août.
Grâce à cette participation de l'armée française à la libération du continent, le général de Lattre ratifiera au nom de son pays la capitulation de l'Allemagne, le 8 mai 1945, à Berlin.
Une semaine d'Histoire du 10 Août 2015 au 16 Août 2015 avec Herodote.net
Le 15 août 1944, à 8h, les Alliés débarquent en Provence, sur dix-huit plages entre Toulon et Cannes.
Aux côtés des troupes anglo-saxonnes figure un puissant corps d'armée constitué de 120.000 Français Libres sous le commandement du général Jean de Lattre de Tassigny.
C'est le troisième débarquement après ceux de Sicile et de Normandie.
Le débarquement proprement dit se déroule plutôt bien, car une bonne partie des troupes allemandes ont été rappelées vers le front de Normandie, ouvert deux mois plus tôt.
Toutefois, la prise de Marseille et de Toulon va se heurter à une forte résistance de l'occupant.
Les troupes françaises remontent vers Toulon après être débarquées près de Saint-Tropez (photo : ECPAD)
Un soutien bienvenu à Overlord et à la libération de la France
Baptisé Anvil (« Enclume ») puis Dragoon (« Dragon »), le débarquement de Provence a été décalé de plus de deux mois par rapport à celui de Normandie car les Alliés ne disposaient pas d'assez de bateaux de transport pour mener les deux de front.
Sa direction est confiée au général Alexander Patch, qui commande la VIIe Armée américaine.
Jean de Lattre de Tassigny (2 février 1889, Mouilleron-en-Pareds - 11 janvier 1952, Neuilly-sur-Seine), photo : ECPAD
Pour la première fois, c'est une véritable armée française, sous les ordres du général Jean de Lattre de Tassigny, qui débarque sur les côtes nationales.
Forte de 260.000 hommes, elle est constituée de volontaires de la France Libre et surtout d'anciens soldats de l'armée d'armistice, qui étaient aux ordres de Vichy.
Elle recense aussi des conscrits d'Afrique du Nord, « pieds-noirs » et musulmans à part égale.
Cette armée, qui réconcilie la France collaborationniste et la France résistante, va débarquer par vagues successives sur les côtes de Provence, aux côtés des Anglo-Saxons.
Pendant que ces derniers s'engouffreront dans la vallée du Rhône, c'est elle qui va conduire l'assaut contre Toulon et Marseille.
Une progression plus rapide que prévu
Comme tout le littoral européen, la côte provençale a été dotée par les Allemands de solides fortifications : blockaus (casemates) et mines.
Mais dès le 27 mai 1944, l'aviation alliée a bombardé tous les sites stratégiques de la côte, comme la gare Saint-Charles de Marseille, et, comme en Normandie, la Résistance intérieure s'est mobilisée pour empêcher par des sabotages tout repli de l'occupant.
Robert T. Frederick, commandant de la 1st Airborne, le 15 août 1944 (14 mars 1907, San Francisco - 29 novembre 1970, Stanford)
Dans la nuit du 14 au 15 août 1944, neuf mille parachutistes anglo-saxons sous les ordres du général américain Robert T. Frederick, sont largués dans l'arrière-pays, entre les massifs des Maures et de l'Estérel.
Ils s'assurent le contrôle des routes et marchent sans attendre vers Cannes.
À l'aube arrivent les premiers navires, avec une solide couverture aérienne qui permettra qu'aucun ne soit coulé.
Ces navires sont partis pour certains dès le 4 août, d'Afrique du Nord ou d'Italie du Sud.
En deux jours, 115.000 hommes touchent terre.
L'assaut a été si rapide que les Allemands ont eu à peine le temps de réagir et l'on ne comptera que quelques dizaines de victimes parmi les Alliés.
Dès le 19 août 1944, les Allemands reçoivent de leur hiérarchie l'ordre de se replier, à l'exception des garnisons de Toulon et Marseille qui ont ordre de résister coûte que coûte.
Toulon et Marseille libérées
Les Américains du général Patch se dirigent à marches forcées vers la vallée du Rhône sans rencontrer de véritable résistance, atteignant Lyon dès le 3 septembre 1944.
Ils font leur jonction avec l'armée de Patton, venue de Normandie, le 12 septembre 1944, à la hauteur de Dijon.
Pour les Français, le plus dur reste à faire.
À Toulon résistent dix-huit mille soldats de la Wehrmacht sous les ordres du contre-amiral Heinrich Ruhfuss. Ils ne se rendront que le 26 août.
À Marseille, la population se soulève dès le 19 août 1944 mais le général allemand Hans Schaeffer, qui tient la ville avec 20.000 hommes, ne cessera la résistance que le 28 août.
Grâce à cette participation de l'armée française à la libération du continent, le général de Lattre ratifiera au nom de son pays la capitulation de l'Allemagne, le 8 mai 1945, à Berlin.
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Re: 15 août 1944 : Débarquement de Provence.
Merci Jacques pour ce rappel.
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Re: 15 août 1944 : Débarquement de Provence.
Salut Pascal.paszim a écrit:Merci Jacques pour ce rappel.
Merci de ta visite.
À plus tard.
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Le 15 août 1944, à 8h, les Alliés débarquent en Provence, sur dix-huit plages entre Toulon et Cannes.
Aux côtés des troupes anglo-saxonnes figure un puissant corps d'armée constitué de 120.000 Français Libres sous le commandement du général Jean de Lattre de Tassigny.
C'est le troisième débarquement après ceux de Sicile et de Normandie.
Le débarquement proprement dit se déroule plutôt bien, car une bonne partie des troupes allemandes ont été rappelées vers le front de Normandie, ouvert deux mois plus tôt.
Toutefois, la prise de Marseille et de Toulon va se heurter à une forte résistance de l'occupant.
Les troupes françaises remontent vers Toulon après être débarquées près de Saint-Tropez (photo : ECPAD)
Un soutien bienvenu à Overlord et à la libération de la France
Baptisé Anvil (« Enclume ») puis Dragoon (« Dragon »), le débarquement de Provence a été décalé de plus de deux mois par rapport à celui de Normandie car les Alliés ne disposaient pas d'assez de bateaux de transport pour mener les deux de front.
Sa direction est confiée au général Alexander Patch, qui commande la VIIe Armée américaine.
Jean de Lattre de Tassigny (2 février 1889, Mouilleron-en-Pareds - 11 janvier 1952, Neuilly-sur-Seine), photo : ECPAD
Pour la première fois, c'est une véritable armée française, sous les ordres du général Jean de Lattre de Tassigny, qui débarque sur les côtes nationales.
Forte de 260.000 hommes, elle est constituée de volontaires de la France Libre et surtout d'anciens soldats de l'armée d'armistice, qui étaient aux ordres de Vichy.
Elle recense aussi des conscrits d'Afrique du Nord, « pieds-noirs » et musulmans à part égale.
Cette armée, qui réconcilie la France collaborationniste et la France résistante, va débarquer par vagues successives sur les côtes de Provence, aux côtés des Anglo-Saxons.
Pendant que ces derniers s'engouffreront dans la vallée du Rhône, c'est elle qui va conduire l'assaut contre Toulon et Marseille.
Une progression plus rapide que prévu
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Mais dès le 27 mai 1944, l'aviation alliée a bombardé tous les sites stratégiques de la côte, comme la gare Saint-Charles de Marseille, et, comme en Normandie, la Résistance intérieure s'est mobilisée pour empêcher par des sabotages tout repli de l'occupant.
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À Marseille, la population se soulève dès le 19 août 1944 mais le général allemand Hans Schaeffer, qui tient la ville avec 20.000 hommes, ne cessera la résistance que le 28 août.
Grâce à cette participation de l'armée française à la libération du continent, le général de Lattre ratifiera au nom de son pays la capitulation de l'Allemagne, le 8 mai 1945, à Berlin.
Une semaine d'Histoire du 15 Août 2016 au 21 Août 2016 avec Herodote.net
Le 15 août 1944, à 8h, les Alliés débarquent en Provence, sur dix-huit plages entre Toulon et Cannes.
Aux côtés des troupes anglo-saxonnes figure un puissant corps d'armée constitué de 120.000 Français Libres sous le commandement du général Jean de Lattre de Tassigny.
C'est le troisième débarquement après ceux de Sicile et de Normandie.
Le débarquement proprement dit se déroule plutôt bien, car une bonne partie des troupes allemandes ont été rappelées vers le front de Normandie, ouvert deux mois plus tôt.
Toutefois, la prise de Marseille et de Toulon va se heurter à une forte résistance de l'occupant.
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Forte de 260.000 hommes, elle est constituée de volontaires de la France Libre et surtout d'anciens soldats de l'armée d'armistice, qui étaient aux ordres de Vichy.
Elle recense aussi des conscrits d'Afrique du Nord, « pieds-noirs » et musulmans à part égale.
Cette armée, qui réconcilie la France collaborationniste et la France résistante, va débarquer par vagues successives sur les côtes de Provence, aux côtés des Anglo-Saxons.
Pendant que ces derniers s'engouffreront dans la vallée du Rhône, c'est elle qui va conduire l'assaut contre Toulon et Marseille.
Une progression plus rapide que prévu
Comme tout le littoral européen, la côte provençale a été dotée par les Allemands de solides fortifications : blockaus (casemates) et mines.
Mais dès le 27 mai 1944, l'aviation alliée a bombardé tous les sites stratégiques de la côte, comme la gare Saint-Charles de Marseille, et, comme en Normandie, la Résistance intérieure s'est mobilisée pour empêcher par des sabotages tout repli de l'occupant.
Robert T. Frederick, commandant de la 1st Airborne, le 15 août 1944 (14 mars 1907, San Francisco - 29 novembre 1970, Stanford)
Dans la nuit du 14 au 15 août 1944, neuf mille parachutistes anglo-saxons sous les ordres du général américain Robert T. Frederick, sont largués dans l'arrière-pays, entre les massifs des Maures et de l'Estérel.
Ils s'assurent le contrôle des routes et marchent sans attendre vers Cannes.
À l'aube arrivent les premiers navires, avec une solide couverture aérienne qui permettra qu'aucun ne soit coulé.
Ces navires sont partis pour certains dès le 4 août, d'Afrique du Nord ou d'Italie du Sud.
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L'assaut a été si rapide que les Allemands ont eu à peine le temps de réagir et l'on ne comptera que quelques dizaines de victimes parmi les Alliés.
Dès le 19 août 1944, les Allemands reçoivent de leur hiérarchie l'ordre de se replier, à l'exception des garnisons de Toulon et Marseille qui ont ordre de résister coûte que coûte.
Toulon et Marseille libérées
Les Américains du général Patch se dirigent à marches forcées vers la vallée du Rhône sans rencontrer de véritable résistance, atteignant Lyon dès le 3 septembre 1944.
Ils font leur jonction avec l'armée de Patton, venue de Normandie, le 12 septembre 1944, à la hauteur de Dijon.
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À Toulon résistent dix-huit mille soldats de la Wehrmacht sous les ordres du contre-amiral Heinrich Ruhfuss. Ils ne se rendront que le 26 août.
À Marseille, la population se soulève dès le 19 août 1944 mais le général allemand Hans Schaeffer, qui tient la ville avec 20.000 hommes, ne cessera la résistance que le 28 août.
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