Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
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michel55
AdUdA
paszim
huski(jean-marie)
Jacknap1948
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GermanKits :: Maquettes de matériels militaires terrestres d'autres époques que la 2° Guerre mondiale. :: Matériels d'autres époques que 2° G.M. : Échelle 1/35°.
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Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
Bonjour à tous,
Je vous en avais parlé dans le passé de mon envie de réaliser un camion GBC 8 KT citerne suite à cette photographie.
J'ai eu ce type de camion lorsque j'effectuais mon service militaire, sauf qu'il n'avait pas de citerne sur son châssis.
Pour ce qui est de l'AMX 30 B2 en premier plan, je l'ai en stock et les décalcomanies de la boite représentent l'engin du cliché.
Donc, il n'y a plus qu'à.
Quelques photos du GBC 8 KT citerne.
Voici le début de la construction de la cabine.
Voilà. Le plus dur dans cette réalisation et de réussir à trouver à chaque fois la documentation qui va bien pour avancer sur le montage.
Je vous en avais parlé dans le passé de mon envie de réaliser un camion GBC 8 KT citerne suite à cette photographie.
J'ai eu ce type de camion lorsque j'effectuais mon service militaire, sauf qu'il n'avait pas de citerne sur son châssis.
Pour ce qui est de l'AMX 30 B2 en premier plan, je l'ai en stock et les décalcomanies de la boite représentent l'engin du cliché.
Donc, il n'y a plus qu'à.
Quelques photos du GBC 8 KT citerne.
Voici le début de la construction de la cabine.
Voilà. Le plus dur dans cette réalisation et de réussir à trouver à chaque fois la documentation qui va bien pour avancer sur le montage.
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paszim- Modérateur
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
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À mon très grand ami Patrice († 58).
À ma petite belle-fille Gaëlle († 31).
Décor "simpliste" sur lequel nous avions rejoué, à 9 joueurs, la Bataille d'Eylau en 1807.
Jacknap1948- Administrateur
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
Merci Jacques. On va y aller doucement, mais surement.
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paszim- Modérateur
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
en scratch c'est un grand oublié des fabricant de maquette même Heller
http://www.maquetland.com/article-phototheque/913-berliet-gbc-8kt-benne
a télécharger il y a les mesures si ta pas déjà
http://www.maquetland.com/article-phototheque/913-berliet-gbc-8kt-benne
a télécharger il y a les mesures si ta pas déjà
Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
Je te remercie Jean-Marie. J'avoue qu'avant de me lancer dans ce projet, je me suis renseigné durant une année pour stocker de la documentation que j'ai notamment récupérer auprès de la Direction Générale de l'Armement dont les archives se trouvent à Châtellerault.
C'est vrai que c'est un grand oublié tout comme la famille des TBU, des SIMCA et des RENAULT. Mais bon, on fera avec.
La suite du montage de la cabine.
La partie moteur sensé être visible sous le châssis.
C'est vrai que c'est un grand oublié tout comme la famille des TBU, des SIMCA et des RENAULT. Mais bon, on fera avec.
La suite du montage de la cabine.
La partie moteur sensé être visible sous le châssis.
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paszim- Modérateur
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
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Jacknap1948- Administrateur
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
je me doutai bien que tu t'étais renseigné ma 1ére connaissance avec ce camion c'était mon arrivé a l'armée en plus surprise le chauffeur était mon meilleur copain avec qui je suis toujours en contact
Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
Je vous remercie pour vos encouragements.
Personnellement, j'ai appris à conduire sur le SIMCA. Une fois dans mon unité, on avait que des GBC 8KT et des UNIMOG. La conduite n'est pas du tout la même d'autant plus qu'en apprentissage avec le SIMCA on a dû avoir au maximum 15 minutes de conduite avec à chaque fois un démarrage en côte à faire. C'était une piste de conduite de l'armée. Le principal était de connaître les différentes huiles pour le camion, le code de la route allemand et tu avais déjà 60% de l'examen dans la poche. Mais ce n'était pas top quand tu sortais avec ton véhicule sur la voie publique pour la première fois. J'ai passé en même temps le permis pour les voitures qui s'est déroulé dans les même conditions. Résultat, 30 minutes de conduite et à la fin le permis VL et poids lourd dans la poche.
Personnellement, j'ai appris à conduire sur le SIMCA. Une fois dans mon unité, on avait que des GBC 8KT et des UNIMOG. La conduite n'est pas du tout la même d'autant plus qu'en apprentissage avec le SIMCA on a dû avoir au maximum 15 minutes de conduite avec à chaque fois un démarrage en côte à faire. C'était une piste de conduite de l'armée. Le principal était de connaître les différentes huiles pour le camion, le code de la route allemand et tu avais déjà 60% de l'examen dans la poche. Mais ce n'était pas top quand tu sortais avec ton véhicule sur la voie publique pour la première fois. J'ai passé en même temps le permis pour les voitures qui s'est déroulé dans les même conditions. Résultat, 30 minutes de conduite et à la fin le permis VL et poids lourd dans la poche.
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paszim- Modérateur
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
pas de permis pour moi peut de chauffeur plus de pilote de char AMX 12et VTT et j'était trop grand
Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
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paszim- Modérateur
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
Salut Pascal.
Bravo pour cette belle, mais plutôt petite suite.
À mon tour de vous narrer quelques petites anecdotes qui montrent certaines bizarreries, j'irais même jusqu'à dire quelques conneries de l'armée française, ne connaissant pas celles des autres Nations je ne puis en parler.
J'avais 23 ans et 9 mois, bac +5, avec en plus 3 ans de cours aux Arts et Métiers et je travaillais depuis 3 ans avec sursis plusieurs fois prolongé, quand je suis parti faire mon service.
J'avais décidé de résilier mon sursis lorsqu'il avait été sérieusement question de remettre le service à 18 mois au lieu des 12 mois en vigueur en fin 1971.
Première connerie :
Je fis partie de la 71/12, et envoyé à Toulon (83), dans l'Infanterie de Marine alors que les médecins militaires avaient constaté et indiqué que j'avais les pieds plats, je fus bien vite exempté de marche et inscrit sur les listes pour être envoyé ailleurs.
Si je fus exempté de marche, ce ne fut pas parce que j'avais les pieds plats, mais simplement parce que malgré 2 permes du soir supprimées avec l'espoir que cela me ferait dépasser mes limites, je ralentissais la 3° section de la 3° compagnie.
Toujours et encore la rivalité voulue par l'encadrement entre les Pelotons, les Sections, les Compagnies, les Régiments, les Brigades, les Divisions, etc..., jusqu'aux Nations lors des exercices internationaux.
Lorsque je veux être têtu et surtout avec raison, je le suis, et donc pour que sa section ne soit plus ralentie je fus exempté par l'Adjudant-Chef C...….i, corse comme beaucoup de Sous-officiers à l'époque.
Le nettoyage des "chieuttes" à la turque à la lame rasoir, tous les matins, 7 jours sur 7, sans gant, ni masque, ni mouchoir sur le nez n'y avaient rien fait non plus, de nos jours ces connards seraient condamnés pour cruauté et harcèlement.
Rien ne put reformer mes pieds plats, mon capital physique en somme, jusqu'au 7° jour, lorsque je me suis brisé le poignet gauche en cassant la gueule d'un caporal-chef, appelé lui aussi pourtant, qui m'avait botté le cul.
Je dus couper ma bague de fiançailles en argent, à la lime à ongle car impossible de l'enlever du fait du quasi doublement de mes doigts et pas moyen de passer une pince entre la bague et mon doigt pour la couper.
Je fus ensuite envoyé à l'hôpital militaire en face de la caserne, pour passer une radio puis le faire plâtrer pour scaphoïde (os du poignet qui supporte les phalanges du pouce) cassé, sortie de l'hôpital le soir du 7/12, une nuit à l'infirmerie de la caserne pour surveillance.
Renvoyé chez moi le 8/12, plâtré du 7/12 au 23/12 et et revenu à la caserne le 22/12 pour me faire enlever le plâtre et reparti chez moi le 23/12 pour la permission de 4 jours pour Noël, permission allongée jusqu'au lendemain du 1°/01.
Moins de 10 jours de service le premier mois, ce fut presque un bon début, malgré les 90 jours d'arrêts de rigueur dont j'avais écopé suite au traumatisme crânien du connard, 90 jours qui seraient à effectuer en rab à la fin du service.
Le premier jour de service j'avais été quasiment rasé par un gars, cuisinier dans le civil , et quand je fis connaissance des gars de ma chambrée de 16, j'appris que l'un d'eux était coiffeur dans le civil , et qu'il était aux cuisines ?
Je fus donc nommé "courriériste", mot que j'ai appris à Toulon, pendant 2 mois, en fait aide du vaguemestre au niveau d'une compagnie pour distribuer le courrier.
Puis je fus expédié ailleurs au bout de 3 mois, le 29/02 et arrivé le 1°/03/72, dans un Régiment d'Artillerie de Marine à La Fère (02), le rêve pour un gars passionné de maquettes de chars entre autres.
Deuxième connerie :
Je fus muté au magasin-radio ainsi qu'un autre gars, pas encore 18 ans, arrivé en même temps que moi.
J'avais appris en moins de 10 mn le code des lettres : Alpha, Bravo, Charlie, etc... et cela avait suffit au Capitaine pour que je sois nommé "Chef magasinier-radio".
Le pauvre gamin, qui savait mal écrire et lire, au bout de plusieurs jours avait tout de même réussi à apprendre les 26 lettres de l'alphabet.
Nous étions 12 radiophonistes dans le local qui ne comportait de 2 chaises, dont une marquée "Chef magasinier" et 4 tabourets.
Autant dire que dès que j'avais ouvert la porte du local, les 10 gamins de 18 / 19 ans se précipitaient pour trouver un siège, mais j'ai réussi à établir un genre de planning d'occupation des places assises.
En dehors de 3 ou 4 exercices de quelques heures par mois, et 3 manœuvres en 7 mois, n'avoir rien à faire de 8h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00 c'est très long.
Nous avions le droit d'occuper notre temps comme nous le voulions, mais pas le droit de se faire surprendre à jouer aux cartes ou à autre chose, ni à ce que des gars soient vus assis sur les caisses contenant le matériel.
Je tenais un grand livre dans lequel j'inscrivais les références des camions sortant en exercice ainsi que le matériel qu'ils empruntaient et le radio qui sortait avec lui.
Le Régiment comptait 3 batterie de canons automoteurs de 105 mm sur AMX 13, quelques VTT AMX 13, des Berliet comme le tin, des Marmont, des Jeeps de 1944/45 et même quelques GMC à bout de souffle.
Le matériel radio était en grande partie américain et le plus marrant était que le truc ayant la plus longue référence de chiffres et de lettres était un bout de câble de 10 cm, dénudé aux 2 bouts et qui reliant 2 parties du poste radio.
Ce bout de câble, de 10 cm, était à peine plus long que la référence, de 5 cm environ, que je devais inscrivais sur le grand livre du matériel.
Pas le droit pour moi d'être vu faisant des mots croisés, pas le droit de faire pour nous du café dans le local car cela ce serait senti, nous sortions dans une courette, dehors au froid ou au chaud pour faire et boire un petit café.
Troisième connerie :
Un beau jour il fut demandé à tous les Commandants des batteries d'artillerie de Marine de trouver un volontaire pour devenir chauffeur du Général de la Division basé à Compiègne (60) et surtout à Paris à l'École Militaire.
Ce "volontaire" devait savoir conduire, nécessaire, connaître Paris, très utile tout de même pour ne pas dire indispensable.
Je me suis porté volontaire pour "ma" batterie et avec les 2 autres volontaires qui étaient du Nord de la France, nous sommes allés chez l'Adjudant-chef chargé du choix final.
Pour mon travail civil j'allais au moins 3 ou 4 fois par semaine à Paris et j'avais des dizaines de milliers de km au compteur de différents véhicules.
Le 2° candidat avait passé son permis juste avant de partir à l'armée et n'avait jamais conduit hors de sa campagne, depuis son petit papier rose.
Le 3° candidat, quand à lui, n'en était qu'à son 2° ou 3° tour du stade de la caserne de La Fère (02), il devait sans doute avoir fait 3 ou 4 km en jeep, survivante du de 1944/1945.
Je me doute que vous avez tous deviné que c'est le 3° candidat complètement novice qui fut choisi.
Quatrième connerie :
Vous aurez sans douté constaté que 3 + 7 cela c'est loin de faire 12 mois, mais la nourriture étant tellement bonne à la caserne que les os de mon poignet se sont nécrosés et j'ai eu droit à une visite à l'hôpital de Lille pour examens et radios.
Le trajet de 3h30 dans une Peugeot 404 ambulance, sur brancard dos à la route, avec gyrophare et sirène c'est long, très long, et le caporal, chef de bord n'a jamais voulu l'éteindre alors que nous étions le plus souvent seuls sur la route.
Il aurait pu ne la mettre que pour se faire doubler ou croiser par des véhicules et pour traverser les villages et petites villes.
Revenu à la caserne tout le monde était en manœuvre à Suippes - Mourmelon, nous n'étions que 18, y compris moi, 1 Adjudant-chef au visage brûlé, 2 sergents chefs de poste alternativement et 2 groupes de 7 bidasses qui montaient la garde alternativement eux aussi.
Dans chacun des 2 groupes 1 gars était envoyé 3 fois au cuisinier civil pour le café le matin, puis pour la corvée de pluche, et de cuisine le midi et le soir, mais pendant ces 2 semaines d'attente nous avons mieux mangé que d'habitude
15 jours plus tard, je fus donc de nouveau envoyé à Lille pour être opéré, dans la même 404 ambulance, sur brancard dos à la route, avec gyrophare, mais sans sirène.
Cette fois le conducteur et moi avions réussi à convaincre le même caporal, chef de bord d''éteindre la sirène lorsque nous étions seuls sur la route, il la faisait mettre que pour se faire doubler ou croiser des véhicules et pour traverser les villages et petites villes.
Je fus opéré, mis au repos dans une chambre de 49 lits au total, chambre qui débarrassée des lits aurait pu servir de terrain de football, puis le matin du 3/11/1972 je fus renvoyé chez moi avec le bras entièrement plâtré pour 6 semaines.
Cinquième connerie :
J'avais reçu l'ordre de contacter la caserne la plus proche de chez moi à Paris pour la suite à donner à mon opération, sans bien sûr aucune désignation de cette caserne.
Je fus baladé de caserne en caserne, toutes avec des noms de Maréchaux de Napoléon I°, pendant plusieurs jours jusqu'à ce que ma mère en parle à une voisine qui travaillait au Ministère des Armées.
Le surlendemain je sus enfin où aller, à Rueil-Malmaison (92), de l'autre côté de chez moi par rapport à Paris.
Je me fis engueuler par le Général Médecin-chef du service parce que j'étais venu avec ma voiture malgré mon bras plâtré, et que j'avais dû bagarrer pour pouvoir pénétrer dans la caserne avec elle.
Il m'écouta m'indiqua de me présenter le lendemain matin à l'hôpital à Bégin (94), un plus près de chez moi tout de même.
Visite de contrôle, et retour chez moi, puis 6 semaines plus tard, je suis allé me faire enlever mon plâtre à Bégin (94), radio, nouveau plâtre de 6 semaines et retour chez moi.
Mon patron d'avant le service avait accepté de me reprendre, j'avais eu l'autorisation de mon nouveau Chef de Corps à Rueil.
Du fait de ma longue convalescence de 3 mois et de l'attente de passer devant une commission de révision et de réforme, je n'ai pas eu à faire mes 90 jours d'arrêts de rigueur.
Tous les mois, je devais me présenter en début de matinée à Rueil-Malmaison (92) pour obtenir un papier permettant de demander une permission de 4 semaines.
Lorsque je ressortais de Rueil je devais me rendre à l'hôpital du Val de Grâce à Paris, et donner ce papier à un service fermé tous les après-midis, aussi j'étais obligé de perdre un autre matinée pour porter ce foutu papier, une enveloppe timbre pour que l'on m'expédie ma permission.
Cette comédie a duré presque 1 an avant que le nouveau Médecin-chef de Rueil, un Colonel, n'accepte de faire des papiers pour demander des permissions de 3 mois.
Et ainsi cela a duré jusqu'à la mi-Juin 1976, plus de 3 ans pendant lesquels je perdais 2 matinées par semestre et j'ai continué de toucher ma solde de 22,50 Francs par mois, par mandat postal, mais plus de cigarette Troupes, ni de timbre.
À la mi-Juin 1976 je suis enfin passé devant la commission de révision et de réforme, 10 ou 12 tables disposées en "U" aves un Général de Division comme Président de la commission.
Plusieurs fois à répéter, à chaque table, les même renseignements pourtant inscrits sur ma fiche, avant le verdict : "Réformé définitif sans possibilité d'être appelé, même en temps de guerre".
J'avais alors 28 ans passé, j'ai été déclaré handicapé à 5 % et depuis lors je touche une petite pension jusqu'à la fin de mes jours, fin que j'espère très lointaine.
Voilà une partie de mes mésaventures militaires, plutôt rocambolesques, mais une fracture avec greffe d'un morceau d'un os du coude dans le poignet reste souvent très sensible au froid, à l'humidité et au pire, par nos temps souvent pourris, au froid et l'humidité conjugués.
Bon appétit si ce n'est déjà fait, bonne après-midi et à plus tard.
Moi je vais aller enfin manger, bon appétit et courage pour ce gros pavé à lire.
Jacques.
Bravo pour cette belle, mais plutôt petite suite.
À mon tour de vous narrer quelques petites anecdotes qui montrent certaines bizarreries, j'irais même jusqu'à dire quelques conneries de l'armée française, ne connaissant pas celles des autres Nations je ne puis en parler.
J'avais 23 ans et 9 mois, bac +5, avec en plus 3 ans de cours aux Arts et Métiers et je travaillais depuis 3 ans avec sursis plusieurs fois prolongé, quand je suis parti faire mon service.
J'avais décidé de résilier mon sursis lorsqu'il avait été sérieusement question de remettre le service à 18 mois au lieu des 12 mois en vigueur en fin 1971.
Première connerie :
Je fis partie de la 71/12, et envoyé à Toulon (83), dans l'Infanterie de Marine alors que les médecins militaires avaient constaté et indiqué que j'avais les pieds plats, je fus bien vite exempté de marche et inscrit sur les listes pour être envoyé ailleurs.
Si je fus exempté de marche, ce ne fut pas parce que j'avais les pieds plats, mais simplement parce que malgré 2 permes du soir supprimées avec l'espoir que cela me ferait dépasser mes limites, je ralentissais la 3° section de la 3° compagnie.
Toujours et encore la rivalité voulue par l'encadrement entre les Pelotons, les Sections, les Compagnies, les Régiments, les Brigades, les Divisions, etc..., jusqu'aux Nations lors des exercices internationaux.
Lorsque je veux être têtu et surtout avec raison, je le suis, et donc pour que sa section ne soit plus ralentie je fus exempté par l'Adjudant-Chef C...….i, corse comme beaucoup de Sous-officiers à l'époque.
Le nettoyage des "chieuttes" à la turque à la lame rasoir, tous les matins, 7 jours sur 7, sans gant, ni masque, ni mouchoir sur le nez n'y avaient rien fait non plus, de nos jours ces connards seraient condamnés pour cruauté et harcèlement.
Rien ne put reformer mes pieds plats, mon capital physique en somme, jusqu'au 7° jour, lorsque je me suis brisé le poignet gauche en cassant la gueule d'un caporal-chef, appelé lui aussi pourtant, qui m'avait botté le cul.
Je dus couper ma bague de fiançailles en argent, à la lime à ongle car impossible de l'enlever du fait du quasi doublement de mes doigts et pas moyen de passer une pince entre la bague et mon doigt pour la couper.
Je fus ensuite envoyé à l'hôpital militaire en face de la caserne, pour passer une radio puis le faire plâtrer pour scaphoïde (os du poignet qui supporte les phalanges du pouce) cassé, sortie de l'hôpital le soir du 7/12, une nuit à l'infirmerie de la caserne pour surveillance.
Renvoyé chez moi le 8/12, plâtré du 7/12 au 23/12 et et revenu à la caserne le 22/12 pour me faire enlever le plâtre et reparti chez moi le 23/12 pour la permission de 4 jours pour Noël, permission allongée jusqu'au lendemain du 1°/01.
Moins de 10 jours de service le premier mois, ce fut presque un bon début, malgré les 90 jours d'arrêts de rigueur dont j'avais écopé suite au traumatisme crânien du connard, 90 jours qui seraient à effectuer en rab à la fin du service.
Le premier jour de service j'avais été quasiment rasé par un gars, cuisinier dans le civil , et quand je fis connaissance des gars de ma chambrée de 16, j'appris que l'un d'eux était coiffeur dans le civil , et qu'il était aux cuisines ?
Je fus donc nommé "courriériste", mot que j'ai appris à Toulon, pendant 2 mois, en fait aide du vaguemestre au niveau d'une compagnie pour distribuer le courrier.
Puis je fus expédié ailleurs au bout de 3 mois, le 29/02 et arrivé le 1°/03/72, dans un Régiment d'Artillerie de Marine à La Fère (02), le rêve pour un gars passionné de maquettes de chars entre autres.
Deuxième connerie :
Je fus muté au magasin-radio ainsi qu'un autre gars, pas encore 18 ans, arrivé en même temps que moi.
J'avais appris en moins de 10 mn le code des lettres : Alpha, Bravo, Charlie, etc... et cela avait suffit au Capitaine pour que je sois nommé "Chef magasinier-radio".
Le pauvre gamin, qui savait mal écrire et lire, au bout de plusieurs jours avait tout de même réussi à apprendre les 26 lettres de l'alphabet.
Nous étions 12 radiophonistes dans le local qui ne comportait de 2 chaises, dont une marquée "Chef magasinier" et 4 tabourets.
Autant dire que dès que j'avais ouvert la porte du local, les 10 gamins de 18 / 19 ans se précipitaient pour trouver un siège, mais j'ai réussi à établir un genre de planning d'occupation des places assises.
En dehors de 3 ou 4 exercices de quelques heures par mois, et 3 manœuvres en 7 mois, n'avoir rien à faire de 8h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00 c'est très long.
Nous avions le droit d'occuper notre temps comme nous le voulions, mais pas le droit de se faire surprendre à jouer aux cartes ou à autre chose, ni à ce que des gars soient vus assis sur les caisses contenant le matériel.
Je tenais un grand livre dans lequel j'inscrivais les références des camions sortant en exercice ainsi que le matériel qu'ils empruntaient et le radio qui sortait avec lui.
Le Régiment comptait 3 batterie de canons automoteurs de 105 mm sur AMX 13, quelques VTT AMX 13, des Berliet comme le tin, des Marmont, des Jeeps de 1944/45 et même quelques GMC à bout de souffle.
Le matériel radio était en grande partie américain et le plus marrant était que le truc ayant la plus longue référence de chiffres et de lettres était un bout de câble de 10 cm, dénudé aux 2 bouts et qui reliant 2 parties du poste radio.
Ce bout de câble, de 10 cm, était à peine plus long que la référence, de 5 cm environ, que je devais inscrivais sur le grand livre du matériel.
Pas le droit pour moi d'être vu faisant des mots croisés, pas le droit de faire pour nous du café dans le local car cela ce serait senti, nous sortions dans une courette, dehors au froid ou au chaud pour faire et boire un petit café.
Troisième connerie :
Un beau jour il fut demandé à tous les Commandants des batteries d'artillerie de Marine de trouver un volontaire pour devenir chauffeur du Général de la Division basé à Compiègne (60) et surtout à Paris à l'École Militaire.
Ce "volontaire" devait savoir conduire, nécessaire, connaître Paris, très utile tout de même pour ne pas dire indispensable.
Je me suis porté volontaire pour "ma" batterie et avec les 2 autres volontaires qui étaient du Nord de la France, nous sommes allés chez l'Adjudant-chef chargé du choix final.
Pour mon travail civil j'allais au moins 3 ou 4 fois par semaine à Paris et j'avais des dizaines de milliers de km au compteur de différents véhicules.
Le 2° candidat avait passé son permis juste avant de partir à l'armée et n'avait jamais conduit hors de sa campagne, depuis son petit papier rose.
Le 3° candidat, quand à lui, n'en était qu'à son 2° ou 3° tour du stade de la caserne de La Fère (02), il devait sans doute avoir fait 3 ou 4 km en jeep, survivante du de 1944/1945.
Je me doute que vous avez tous deviné que c'est le 3° candidat complètement novice qui fut choisi.
Quatrième connerie :
Vous aurez sans douté constaté que 3 + 7 cela c'est loin de faire 12 mois, mais la nourriture étant tellement bonne à la caserne que les os de mon poignet se sont nécrosés et j'ai eu droit à une visite à l'hôpital de Lille pour examens et radios.
Le trajet de 3h30 dans une Peugeot 404 ambulance, sur brancard dos à la route, avec gyrophare et sirène c'est long, très long, et le caporal, chef de bord n'a jamais voulu l'éteindre alors que nous étions le plus souvent seuls sur la route.
Il aurait pu ne la mettre que pour se faire doubler ou croiser par des véhicules et pour traverser les villages et petites villes.
Revenu à la caserne tout le monde était en manœuvre à Suippes - Mourmelon, nous n'étions que 18, y compris moi, 1 Adjudant-chef au visage brûlé, 2 sergents chefs de poste alternativement et 2 groupes de 7 bidasses qui montaient la garde alternativement eux aussi.
Dans chacun des 2 groupes 1 gars était envoyé 3 fois au cuisinier civil pour le café le matin, puis pour la corvée de pluche, et de cuisine le midi et le soir, mais pendant ces 2 semaines d'attente nous avons mieux mangé que d'habitude
15 jours plus tard, je fus donc de nouveau envoyé à Lille pour être opéré, dans la même 404 ambulance, sur brancard dos à la route, avec gyrophare, mais sans sirène.
Cette fois le conducteur et moi avions réussi à convaincre le même caporal, chef de bord d''éteindre la sirène lorsque nous étions seuls sur la route, il la faisait mettre que pour se faire doubler ou croiser des véhicules et pour traverser les villages et petites villes.
Je fus opéré, mis au repos dans une chambre de 49 lits au total, chambre qui débarrassée des lits aurait pu servir de terrain de football, puis le matin du 3/11/1972 je fus renvoyé chez moi avec le bras entièrement plâtré pour 6 semaines.
Cinquième connerie :
J'avais reçu l'ordre de contacter la caserne la plus proche de chez moi à Paris pour la suite à donner à mon opération, sans bien sûr aucune désignation de cette caserne.
Je fus baladé de caserne en caserne, toutes avec des noms de Maréchaux de Napoléon I°, pendant plusieurs jours jusqu'à ce que ma mère en parle à une voisine qui travaillait au Ministère des Armées.
Le surlendemain je sus enfin où aller, à Rueil-Malmaison (92), de l'autre côté de chez moi par rapport à Paris.
Je me fis engueuler par le Général Médecin-chef du service parce que j'étais venu avec ma voiture malgré mon bras plâtré, et que j'avais dû bagarrer pour pouvoir pénétrer dans la caserne avec elle.
Il m'écouta m'indiqua de me présenter le lendemain matin à l'hôpital à Bégin (94), un plus près de chez moi tout de même.
Visite de contrôle, et retour chez moi, puis 6 semaines plus tard, je suis allé me faire enlever mon plâtre à Bégin (94), radio, nouveau plâtre de 6 semaines et retour chez moi.
Mon patron d'avant le service avait accepté de me reprendre, j'avais eu l'autorisation de mon nouveau Chef de Corps à Rueil.
Du fait de ma longue convalescence de 3 mois et de l'attente de passer devant une commission de révision et de réforme, je n'ai pas eu à faire mes 90 jours d'arrêts de rigueur.
Tous les mois, je devais me présenter en début de matinée à Rueil-Malmaison (92) pour obtenir un papier permettant de demander une permission de 4 semaines.
Lorsque je ressortais de Rueil je devais me rendre à l'hôpital du Val de Grâce à Paris, et donner ce papier à un service fermé tous les après-midis, aussi j'étais obligé de perdre un autre matinée pour porter ce foutu papier, une enveloppe timbre pour que l'on m'expédie ma permission.
Cette comédie a duré presque 1 an avant que le nouveau Médecin-chef de Rueil, un Colonel, n'accepte de faire des papiers pour demander des permissions de 3 mois.
Et ainsi cela a duré jusqu'à la mi-Juin 1976, plus de 3 ans pendant lesquels je perdais 2 matinées par semestre et j'ai continué de toucher ma solde de 22,50 Francs par mois, par mandat postal, mais plus de cigarette Troupes, ni de timbre.
À la mi-Juin 1976 je suis enfin passé devant la commission de révision et de réforme, 10 ou 12 tables disposées en "U" aves un Général de Division comme Président de la commission.
Plusieurs fois à répéter, à chaque table, les même renseignements pourtant inscrits sur ma fiche, avant le verdict : "Réformé définitif sans possibilité d'être appelé, même en temps de guerre".
J'avais alors 28 ans passé, j'ai été déclaré handicapé à 5 % et depuis lors je touche une petite pension jusqu'à la fin de mes jours, fin que j'espère très lointaine.
Voilà une partie de mes mésaventures militaires, plutôt rocambolesques, mais une fracture avec greffe d'un morceau d'un os du coude dans le poignet reste souvent très sensible au froid, à l'humidité et au pire, par nos temps souvent pourris, au froid et l'humidité conjugués.
Bon appétit si ce n'est déjà fait, bonne après-midi et à plus tard.
Moi je vais aller enfin manger, bon appétit et courage pour ce gros pavé à lire.
Jacques.
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À mon très grand ami Patrice († 58).
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
Quel beau parcours au sein de notre armée......
Je sais qu'il y en a eu pas mal des cas comme toi avec parfois le maintien jusqu'à la fin des 12 mois afin qu'aucune pension ne puisse être demandée à la grande muette.
Je sais qu'il y en a eu pas mal des cas comme toi avec parfois le maintien jusqu'à la fin des 12 mois afin qu'aucune pension ne puisse être demandée à la grande muette.
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
ah les surprises des trouffions de l'époque tout une histoire
Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
C'est vrai que, même si au départ on n'était pas très chaud, on a quand même bien rigolé et eu de bons moments. Sans le service, nous n'aurions pas pu les connaître ni nous ouvrir sur le monde qui nous entourait.
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
Beau début!
Il y a du "taf" comme disent les "djeunes"..!!!
Bonne continuation et bonne année (et à tous aussi ).
Amaury
Il y a du "taf" comme disent les "djeunes"..!!!
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
Avec plaisir!
Tu as raison de boire un coup entre deux parties de scratch
Tu as utilisé une goutte de colle pour les pommeaux de manettes?
Je suis avec intérêt.
Amitiés,
Amaury
Tu as raison de boire un coup entre deux parties de scratch
Tu as utilisé une goutte de colle pour les pommeaux de manettes?
Je suis avec intérêt.
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
ça présente bien les gouttes de colle voir avec la peinture
Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
C'est exact, il s'agit de gouttes de cyano me permettant lors de la peinture de représenter les pommeaux des différents manches de la cabine.
Je vous remercie pour vos encouragements.
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
Suite du montage sur la cabine.
J'ai mis en place les plaques d'antidérapant ainsi que des boulons et équerres.
En passant, quelques détails sur le châssis.
Retour sur la cabine avec la mise en place de grille de ventilation sur le capot moteur et à l'arrière de la cabine, au niveau de l'emplacement batterie.
Réalisation des crochets de maintien du capot moteur.
Mise en place de ces pièces.
Fixation de la cabine sur le châssis et réalisation des prises d'arrivée d'air à l'avant.
Et voilà pour l'instant.
J'ai mis en place les plaques d'antidérapant ainsi que des boulons et équerres.
En passant, quelques détails sur le châssis.
Retour sur la cabine avec la mise en place de grille de ventilation sur le capot moteur et à l'arrière de la cabine, au niveau de l'emplacement batterie.
Réalisation des crochets de maintien du capot moteur.
Mise en place de ces pièces.
Fixation de la cabine sur le châssis et réalisation des prises d'arrivée d'air à l'avant.
Et voilà pour l'instant.
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
Peut être, je ne suis pas pêcheur et de ce fait je ne connais pas la taille des différents plombs.
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Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
les plombs de pêche sont vendue en boite avec plusieurs grosseur de plomb c'est ce que j'ai employé pour les chainball du merkava pas besoin d'être pécheur
chapeau pour les détails
chapeau pour les détails
Re: Camion BERLIET GBC 8 KT citerne (SCRATCH) échelle 1/35
Merci Jean-Marie.
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