93° série de blagues.
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93° série de blagues.
Salut à Tous.
Et voici donc une nouvelle petite série de blagues.
Une mère à sa fille :
« Les voisines disent que tu couches avec ton fiancé ! »
La fille :
« Les gens sont des mauvaises langues.
Il suffit de coucher avec quelqu'un pour qu'aussitôt on dise que c'est ton fiancé !!! »
« Marie, ton mari va se jeter par la fenêtre ! »
« Dis à ce con qu'il a des cornes, pas des ailes !!! »
Entre voisines :
« Carmen es-tu malade ? Je te le demande car j'ai vu sortir un docteur de chez toi ce matin »
« Ecoute, hier matin j'ai vu sortir un militaire de chez toi et c'est pas pour autant que tu es en guerre, pas vrai ??? »
Dites-moi madame, pour quel motif voulez-vous divorcer ?
« Mon mari me traite comme un chien ! »
« Il vous maltraite ? Il vous bat ? »
« Non, il veut que je lui sois fidèle !!!
Durant une fête, le garçon propose un autre verre à une demoiselle :
« Mademoiselle, encore un verre ? »
« Non merci : ça me donne des douleurs dans les jambes ! »
« Ah, je vois : elles s'endorment ! »
« Non, elles s'ouvrent !!! »
Une jeune rebelle très libérée entre dans un bar toute nue, va vers le bar et demande au garçon une bière bien froide.
Le barman reste là à la regarder sans bouger ;
« Qu'est-ce qu'il y a, dit elle, vous n'avez jamais vu une femme nue ? »
« Oh si, souvent ! »
« Et alors qu'est-ce que vous regardez ? »
« Je voudrais simplement voir d'où vous allez sortir l'argent pour me payer !!
L'argent, c'est comme les femmes :
Pour le garder, il faut s'en occuper.
Sans cela, il va faire le bonheur de quelqu'un d'autre.
Deux Belges regardent le catalogue de la Redoute et voient les mannequins.
L'un dit à l'autre :
As-tu vu les belles filles qu'il y a dans le catalogue ?
- Oui, putain qu'elles sont belles !
- As-tu vu le prix ?
- En effet, elles sont vraiment pas chères. À ce prix, moi je m'en achète une.
- Bonne idée, commande-la et si elle est aussi belle que dans le catalogue, moi aussi je m'en achète une.
Trois semaines plus tard, le Belge demande à son ami:
- Au fait, la fille que tu as commande dans le catalogue La Redoute, est-elle arrivée ?
- Non ! Mais ça devrait pas tarder car j'ai reçu ses vêtements hier.
Une jeune journaliste de CNN avait entendu parler d'un très, très vieux juif qui se rendait deux fois par jour prier au mur des lamentations, depuis toujours.
Pensant tenir un sujet, elle se rend sur place et voit un très vieil homme marchant lentement vers le mur.
Après trois quarts d'heure de prière et alors qu'il s'éloigne lentement, appuyé sur sa canne, elle s'approche pour l'interviewer.
"Excusez-moi, monsieur, je suis Rebecca Smith de CNN. Quel est votre nom ?"
"Moshe Rosenberg" répond-t-il.
"Depuis combien de temps venez-vous prier ici ?"
"Plus de 60 ans" répond-t-il.
"60 ans ! C'est incroyable !
"Et pour quoi priez-vous ?"
"Je prie pour la paix entre les Chrétiens, les Juifs et les Musulmans. Je prie pour la fin de toutes les guerres et de la haine. Je prie pour que nos enfants grandissent en sécurité et deviennent des adultes responsables, qui aiment leur prochain.."
"Et que ressentez-vous après 60 ans de prières ?"
"... J'ai l'impression de parler à un mur."
Capitaine Ramotte
Figure bien connue à Marseille, le capitaine Ramotte, un ancien de la marine marchande, s’est lancé dans les affaires, ce qui l’amène à monter chaque semaine à Paris.
Un jour, alors qu’il s’apprête à partir, sa femme, une valise à la main, lui dit :
- Chéri ! Je t’ai fait une surprise… Je viens avec toi !
- J’aimerais tellement, répond le capitaine Ramotte qui n’en pense pas un mot, mais c’est impossible : les trains sont complets, et j’ai une chambre d’une personne…
- Je me suis occupée de tout ! J’ai pris mon billet et prévenu ton hôtel. Je serais tellement heureuse que nous passions une soirée parisienne ensemble…
Ils arrivent à Paris, s’installent à leur hôtel, et le soir, au moment où ils vont pour sortir, le concierge accourt :
- J’ai fait réserver votre table au Crazy Horse Saloon, capitaine Ramotte…
- Comment ? fait l’épouse. Tu vas voir les femmes nues quand tu montes à Paris ?
- Jamais, ma douce. C’est pour te faire plaisir que j’ai demandé au concierge de nous réserver un bon spectacle.
- Ah…
Dehors un taxi les attend :
- Au Crazy Horse, capitaine Ramotte ?
- Comment ce chauffeur le sait-il ? interroge la femme de plus en plus soupçonneuse.
- Parce que le portier lui a indiqué notre destination. C’est ça les grands hôtels !
A peine ont-ils pénétré dans le cabaret que le maître d’hôtel se précipite :
- Capitaine Ramotte, je vous ai réservé notre meilleure table…
- Ose me dire que tu n’es pas un habitué ? murmure la dame.
- J’ose, ma bien-aimée. Je ne viens jamais dans cet établissement ! C’est l’hôtel qui a demandé une très bonne table à notre nom…
Le spectacle commence.
Une superbe fille entame un strip-tease éblouissant.
Quand elle arrive à la dernière pièce de nylon, qu’elle fait glisser lentement le long de ses jambes, l’assistance retient son souffle.
Elle fait tournoyer au-dessus de sa tête le triangle bordé de dentelle, et lance d’un voix coquine :
- C’est pour qui la petite culotte ?
Et toute la salle répond en chœur :
- Pour le capitaine Ramotte !
Dans le taxi qui les reconduit à leur hôtel, sa femme, qui s’était contenue en public, explose :
- Espèce de salaud ! Minable ! Espèce de ceci… de cela…
Et elle le traite de tous les noms d’oiseaux.
Alors le chauffeur se retourne et dit :
- Capitaine Ramotte, Dieu sait si on en a ramené des pouffiasses à votre hôtel, mais comme celle-là jamais !
Simone la belle-mère arrive à la maison et trouve son gendre furieux, en train de faire ses bagages.
- Mais qu’est-il arrivé, Manu ?
- Qu’est-il arrivé ? Je vais te le dire ! J’ai envoyé un télégramme à ma femme en disant que je rentrais de voyage aujourd’hui. Je suis arrivé chez moi et devines ce que j’ai trouvé ?… Ma femme, oui ma Marie, avec un mec tout nu dans notre lit conjugal ! C’en est fini de notre mariage, je pars pour toujours !
- Du calme dit la belle mère ! Il y a quelque chose de bizarre dans cette histoire, ton épouse ne te ferait jamais une chose pareille !
Attends une minute, je vais vérifier ce qui s’est passé.
Quelques instants plus tard, Simone est de retour avec un grand sourire…
- Alors, je te l’avais dit qu’il devait y avoir une explication simple… Marie n’a pas reçu ton télégramme !
Pourquoi les jeunes femmes Israéliennes vont au Kotel*("Mur occidental") avant le mariage ?
Pour s’habituer à parler à un mur !
Attention : Il y a quand même une morale à cette histoire ! ! !
J'étais un jeune homme très heureux.
Ma petite amie et moi sortions ensemble depuis plus d'un an et nous avions décidé de nous marier.
Seule ombre au tableau : sa jeune et magnifique Sœur.
Très sexy, ma future belle-sœur avait 22 ans, portait toujours des tee-shirts moulants et la plupart du temps sans soutien gorge.
Chaque fois qu'elle se penchait en avant, elle m'offrait alors une vue plus que magnifique.
Ce qui me gênait c'est, que manifestement, elle ne se comportait ainsi qu'avec moi !
Un jour ma future belle-sœur me téléphona pour me présenter les faire-parts de mariage.
A mon arrivée, elle était seule et me susurra aussitôt qu'elle avait des sentiments pour moi, qu'elle me désirait ardemment et qu'elle voulait être à moi, avant mon mariage avec sa sœur.
J'étais assommé et incapable de répondre quoi que ce soit.
Elle me dit :
"Je monte à l'étage dans ma chambre si tu es prêt pour l'aventure, rejoins-moi."
J'étais comme paralysé et la regardais monter.
Je restais immobile un moment et me précipitais alors vers la porte d'entrée,
J'ouvrais la porte et courais vers ma voiture
Et soudain, quelle ne fut pas ma surprise !
Toute ma future belle-famille était là qui m applaudissait.
Les yeux plein de larmes, mon beau-père me prit dans ses bras et me dit :
"Nous sommes heureux que tu aies passé notre petit test avec succès. Nous ne pouvions rêver d'un meilleur mari pour notre fille. Bienvenue dans notre Famille".
Morale de cette histoire :
IL FAUT TOUJOURS RANGER SES PRÉSERVATIFS DANS SA VOITURE !!!
Un type décide de faire son baptême de l'air.
Il se rend dans un aéroclub et engage la conversation avec le pilote :
" Voilà... J'aimerais faire mon baptême de l'air mais je voudrais un vol à sensation, pas les petits vols pépères que vous réservez aux touristes "
" Pas de problème, si vous êtes amateur de sensations fortes, vous allez en avoir "
Le type et le pilote montent donc dans un petit avion.
L'avion prend de la vitesse... il roule de plus en plus vite mais ne décolle pas !
Il fonce droit sur un arbre !
Au dernier moment, le pilote tire sur le manche et l'avion décolle en frôlant les branches de l'arbre...
Le pilote entend son client assis derrière lui dire :
" Ça, je m'y attendais !"
L'avion a maintenant pris de l'altitude.
Comme le type ne semble pas avoir eu peur au décollage, le pilote tente la figure de "la feuille morte".
Il coupe le moteur de l'avion et ce dernier chute vers le sol.
L'avion part en vrille, le sol se rapproche de plus en plus vite et au dernier moment, le pilote remet les gaz et tire sur le manche !
L'avion fait un rase-mottes et reprend de l'altitude.
Le pilote entend son client dire :
" Ça, je m'y attendais aussi ! "
Énervé, le pilote bascule l'avion sur le dos.
Il vole ainsi un petit moment puis enchaîne les loopings.
Lorsqu'il termine ses acrobaties, le pilote entend le type dire :
" Ça, par exemple, je ne m'y attendais pas ! "
Comme le client a enfin eu les sensations fortes demandées, le pilote pose le petit avion en douceur..
Après avoir atterri, il dit à son client :
"J'ai cru que je n'arriverais jamais à vous faire peur ! Vous n'arrêtiez pas de dire "ça, je m'y attendais !"
"Écoutez bien !" dit le type, "Quand j'ai dit ça, je m'y attendais ! au moment du décollage, c'est parce que j'ai pissé dans mon pantalon tellement j'ai eu peur! Ensuite, quand l'avion a chuté vers le sol, j'ai dit ça, je m'y attendais ! parce que j'ai chié dans mon pantalon tellement j'ai eu peur ....... Par contre, quand vous avez volé sur le dos et fait les loopings à l'envers, tout est remonté dans le col de ma chemise, et ça, je ne m'y attendais pas ...!!! "
L’accident de travail
Monsieur l’assureur,
Je vous écris en réponse à la demande d’informations complémentaires concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier.
J’ai précisé : « manque de chance » dans la case réservée aux « causes du sinistre » et vous me demandez des précisions.
Je suis couvreur de formation. Le jour de l’accident, je travaillais seul sur le toit d’un immeuble de 6 étages.
Une fois le travail terminé, cet après-midi-là, j’ai constaté qu’il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120 kg .
Plutôt que de descendre les tuiles à la main, j’ai décidé de les placer dans un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce a une poulie fixée au 6e étage.
J’ai donc chargé les tuiles dans la caisse du monte-charge sur le toit et suis redescendu au bas de l’immeuble pour procéder à la descente du chargement.
Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manœuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 kg.
Dés que le monte-charge s’est retrouvé suspendu en l’air, j’ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n’ai pas eu la présence d’esprit de lâcher la corde.
J’ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l’immeuble et, au niveau du troisième étage, j’ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse.
Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précèdent.
Mon ascension s’est toutefois ralentie au niveau du 6e étage et s’est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie.
Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j’avais mentionnées. Suspendu en l’air et malgré la douleur intense, je n’ai pas lâché prise.
Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse.
Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol.
Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j’ai commencé une rapide descente vers le bas.
Au niveau du troisième étage, comme vous l’imaginez, j’ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment.
Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m’a causé qu’une simple fracture du genou.
Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l’enfoncement de la cage thoracique que j’ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente ne vous aura sans doute pas échappé.
J’ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n’ai pas eu la présence d’esprit de tenir la corde quelques secondes de plus.
J’étais donc dans l’incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 kg a entamé sa rapide redescende…
Très cordialement.
L’eurofrançais
La Commission Européenne a finalement tranché : après la monnaie unique, l’Union Européenne va se doter d’une langue unique, à savoir… le français.
Trois langues étaient en compétition : le français (parlé dans le plus grand nombre de pays de l’Union), l’allemand (parlé par le plus grand nombre d’habitants de l’Union) et l’anglais (langue internationale par excellence).
L’anglais a vite été éliminé, pour deux raisons : il aurait été le cheval de Troie économique des Etats-Unis et les Britanniques ont vu leur influence limitée au profit du couple franco-allemand à cause de leur réticence légendaire à s’impliquer dans la construction européenne.
Le choix a fait l’objet d’un compromis, les Allemands ayant obtenu que l’orthographe du français, particulièrement délicate à maîtriser soit réformée, dans le cadre d’un plan de cinq ans, afin d’aboutir à l’eurofrançais.
1. La première année, les sons actuellement distribués entre ‘s’, ‘z’, ‘c’, ‘k’ et ‘q’ seront répartis entre ‘z’ et ‘k’, ze ki permettra de zupprimer beaukoup de la konfuzion aktuelle.
2. La deuzième année, on remplazera le ‘ph’ par ‘f’, ze ki aura pour effet de rakourzir un mot komme ‘fotograf’ de kelke vingt pour zent.
3. La troizième année, des modifikazions plus draztikes seront pozzibles, notamment ne plus redoubler les lettres ki l’étaient ; touz ont auzi admis le prinzip de la zuprezion des ‘e’ muets, zourz éternel de konfuzion, en efet, tou kom d’autr letr muet.
4. La katrièm ané, les gens zeront devenu rézeptif à dé changements majeurs, tel ke remplazé ‘g’, zoi par ‘ch’, – avek le ‘j’ – zoi par ‘k’, zelon les ka, ze ki zimplifira davantach l’ékritur de touz.
5. Duran la zinkièm ané, le ‘b’ zera remplazé par le ‘p’ et e ‘v’ zera lui auzi apandoné – au profi du ‘f’, éfidamen – on kagnera ainzi pluzieur touch zur no klafié.
Un foi ze plan de zink an achefé, l’ortograf zera defenu lochik, et lé chen pouron ze komprendr et komuniké.
Le barrage de police
Un homme âgé est arrêté par un barrage de police vers 2 heures du matin.
Le policier lui demande où il va à cette heure de la nuit.
L’homme répond :
« Je me rends à une conférence sur l’abus d’alcool et ses effets sur le corps humain, ainsi que sur le tabac et les soirées tardives. »
Le policier pas convaincu demande alors :
« Vraiment, et qui est ce qui donne cette conférence à une heure pareille ? »
L’homme répond :
« Comme d’habitude, ça va être ma femme. »
Qu'est ce qui est le plus douloureux quand un Homme veut se transformer en femme ?
L'ablation du cerveau !!
Chimon ne savait pas trop quoi choisir comme cadeau d'anniversaire pour sa belle-mère.
Finalement, en désespoir de cause, il opta pour l'achat d'une concession funéraire dans un cimetière très huppé de la ville.
Un an plus tard, pour le nouvel anniversaire de sa belle-mère, Chimon ne lui achète rien.
La belle-mère ne manque pas de lui faire remarquer son oubli :
- Alors Chimon, mon fils, tu ne m'aimes plus ? Tu n'as plus de considération pour ta belle-maman ?
- C'est à dire belle-maman, je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer que vous ne vous étiez pas servi de mon cadeau de l'année dernière...
Un mec entre dans la chambre, une chèvre dans les bras.
Sa femme allongée sur le lit était en train de lire un livre.
L'homme dit :
"Regarde chérie, c'est la vache que je baise quand t'as des migraines."
La femme répond :
"Si t'étais pas con à ce point tu te rendrais compte qu'il s'agit d'une chèvre."
L'homme sourit :
"Si t'étais pas conne à ce point, tu comprendrais que je parlais à la chèvre...."
La moumoute du comte
Monsieur le comte vient de mourir.
Et comme il tenait à ce que personne ne le voie sans sa moumoute qu’il n’enlevait que la nuit, on le couche dans le cercueil avec la perruque sur la tête.
Mais dans cette position elle glisse, impossible de la faire tenir droite.
Après de multiples tentatives, la veuve se désespère.
Alors le croque-mort lui dit :
- Ne vous inquiétez pas, je vais vous arranger ça !
Un quart d’heure plus tard, il vient la prévenir que c’est fait : la moumoute reste parfaitement droite.
- Oh, merci, merci ! Combien vous dois-je ? dit la comtesse.
- Rien du tout ! Pour un malheureux clou…
C'est un gamin qui vient discrètement ouvrir la porte de la chambre de ses parents.
Il voit sa mère faire, ce qu'on nomme, une gâterie à son père.
Il referme doucement la porte et s'en va en secouant la tête et se dit :
"Quand je pense qu’ils veulent me faire rencontrer un psy parce je suce mon pouce !"
Un petit gamin se lève pendant la nuit pour aller aux toilettes.
En passant devant la chambre de sa grande sœur, il entend du bruit.
Il colle son oreille à la porte et entend sa Sœur qui dit :
« Ho, c'est bon, c'est Bon...! »
Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner avec toute la famille, il demande au copain de sa sœur :
« Dis Pierre, c'est quoi que tu donnais à manger à Valérie pendant la nuit, elle disait que c'était bon ? »
Pierre très embarrassé :
« Ha oui, c'était du chocolat. »
« Ha, Ha, menteur va ! Ce n'est pas vrai, c'était du saucisson. J'ai retrouvé la peau en-dessous du lit !
Un monsieur âgé a un sérieux problème.
Il est complètement sourd depuis plusieurs années.
Il va voir son médecin qui lui prescrit un nouvel appareil auditif haut de gamme.
Au bout d'un mois, il retourne voir son médecin qui lui dit :
- " Votre famille doit être contente de voir que vous entendez très bien ?"
L'homme répond :
« Oh, je n'ai pas encore dit à ma famille que j'avais un appareil. Je ne fais que m'asseoir et écouter les conversations. J'ai déjà changé trois fois mon testament...»
Dans un foyer pour seniors, deux hommes âgés sont assis sur un banc.
L'un d'eux se tourne vers l'autre et dit :
- "Jos, j'ai 83 ans, j'ai mal partout et j'ai des difficultés à marcher.. Je sais que tu as mon âge. Comment vas-tu ? "
- Je me sens comme un nouveau-né !
- Vraiment, comme un nouveau-né ?
- Oui, pas de cheveux, pas de dents et des couches-culottes ... !
Bonne lecture, bons sourires et bonne journée.
Jacques.
Et voici donc une nouvelle petite série de blagues.
Une mère à sa fille :
« Les voisines disent que tu couches avec ton fiancé ! »
La fille :
« Les gens sont des mauvaises langues.
Il suffit de coucher avec quelqu'un pour qu'aussitôt on dise que c'est ton fiancé !!! »
« Marie, ton mari va se jeter par la fenêtre ! »
« Dis à ce con qu'il a des cornes, pas des ailes !!! »
Entre voisines :
« Carmen es-tu malade ? Je te le demande car j'ai vu sortir un docteur de chez toi ce matin »
« Ecoute, hier matin j'ai vu sortir un militaire de chez toi et c'est pas pour autant que tu es en guerre, pas vrai ??? »
Dites-moi madame, pour quel motif voulez-vous divorcer ?
« Mon mari me traite comme un chien ! »
« Il vous maltraite ? Il vous bat ? »
« Non, il veut que je lui sois fidèle !!!
Durant une fête, le garçon propose un autre verre à une demoiselle :
« Mademoiselle, encore un verre ? »
« Non merci : ça me donne des douleurs dans les jambes ! »
« Ah, je vois : elles s'endorment ! »
« Non, elles s'ouvrent !!! »
Une jeune rebelle très libérée entre dans un bar toute nue, va vers le bar et demande au garçon une bière bien froide.
Le barman reste là à la regarder sans bouger ;
« Qu'est-ce qu'il y a, dit elle, vous n'avez jamais vu une femme nue ? »
« Oh si, souvent ! »
« Et alors qu'est-ce que vous regardez ? »
« Je voudrais simplement voir d'où vous allez sortir l'argent pour me payer !!
L'argent, c'est comme les femmes :
Pour le garder, il faut s'en occuper.
Sans cela, il va faire le bonheur de quelqu'un d'autre.
Deux Belges regardent le catalogue de la Redoute et voient les mannequins.
L'un dit à l'autre :
As-tu vu les belles filles qu'il y a dans le catalogue ?
- Oui, putain qu'elles sont belles !
- As-tu vu le prix ?
- En effet, elles sont vraiment pas chères. À ce prix, moi je m'en achète une.
- Bonne idée, commande-la et si elle est aussi belle que dans le catalogue, moi aussi je m'en achète une.
Trois semaines plus tard, le Belge demande à son ami:
- Au fait, la fille que tu as commande dans le catalogue La Redoute, est-elle arrivée ?
- Non ! Mais ça devrait pas tarder car j'ai reçu ses vêtements hier.
Une jeune journaliste de CNN avait entendu parler d'un très, très vieux juif qui se rendait deux fois par jour prier au mur des lamentations, depuis toujours.
Pensant tenir un sujet, elle se rend sur place et voit un très vieil homme marchant lentement vers le mur.
Après trois quarts d'heure de prière et alors qu'il s'éloigne lentement, appuyé sur sa canne, elle s'approche pour l'interviewer.
"Excusez-moi, monsieur, je suis Rebecca Smith de CNN. Quel est votre nom ?"
"Moshe Rosenberg" répond-t-il.
"Depuis combien de temps venez-vous prier ici ?"
"Plus de 60 ans" répond-t-il.
"60 ans ! C'est incroyable !
"Et pour quoi priez-vous ?"
"Je prie pour la paix entre les Chrétiens, les Juifs et les Musulmans. Je prie pour la fin de toutes les guerres et de la haine. Je prie pour que nos enfants grandissent en sécurité et deviennent des adultes responsables, qui aiment leur prochain.."
"Et que ressentez-vous après 60 ans de prières ?"
"... J'ai l'impression de parler à un mur."
Capitaine Ramotte
Figure bien connue à Marseille, le capitaine Ramotte, un ancien de la marine marchande, s’est lancé dans les affaires, ce qui l’amène à monter chaque semaine à Paris.
Un jour, alors qu’il s’apprête à partir, sa femme, une valise à la main, lui dit :
- Chéri ! Je t’ai fait une surprise… Je viens avec toi !
- J’aimerais tellement, répond le capitaine Ramotte qui n’en pense pas un mot, mais c’est impossible : les trains sont complets, et j’ai une chambre d’une personne…
- Je me suis occupée de tout ! J’ai pris mon billet et prévenu ton hôtel. Je serais tellement heureuse que nous passions une soirée parisienne ensemble…
Ils arrivent à Paris, s’installent à leur hôtel, et le soir, au moment où ils vont pour sortir, le concierge accourt :
- J’ai fait réserver votre table au Crazy Horse Saloon, capitaine Ramotte…
- Comment ? fait l’épouse. Tu vas voir les femmes nues quand tu montes à Paris ?
- Jamais, ma douce. C’est pour te faire plaisir que j’ai demandé au concierge de nous réserver un bon spectacle.
- Ah…
Dehors un taxi les attend :
- Au Crazy Horse, capitaine Ramotte ?
- Comment ce chauffeur le sait-il ? interroge la femme de plus en plus soupçonneuse.
- Parce que le portier lui a indiqué notre destination. C’est ça les grands hôtels !
A peine ont-ils pénétré dans le cabaret que le maître d’hôtel se précipite :
- Capitaine Ramotte, je vous ai réservé notre meilleure table…
- Ose me dire que tu n’es pas un habitué ? murmure la dame.
- J’ose, ma bien-aimée. Je ne viens jamais dans cet établissement ! C’est l’hôtel qui a demandé une très bonne table à notre nom…
Le spectacle commence.
Une superbe fille entame un strip-tease éblouissant.
Quand elle arrive à la dernière pièce de nylon, qu’elle fait glisser lentement le long de ses jambes, l’assistance retient son souffle.
Elle fait tournoyer au-dessus de sa tête le triangle bordé de dentelle, et lance d’un voix coquine :
- C’est pour qui la petite culotte ?
Et toute la salle répond en chœur :
- Pour le capitaine Ramotte !
Dans le taxi qui les reconduit à leur hôtel, sa femme, qui s’était contenue en public, explose :
- Espèce de salaud ! Minable ! Espèce de ceci… de cela…
Et elle le traite de tous les noms d’oiseaux.
Alors le chauffeur se retourne et dit :
- Capitaine Ramotte, Dieu sait si on en a ramené des pouffiasses à votre hôtel, mais comme celle-là jamais !
Simone la belle-mère arrive à la maison et trouve son gendre furieux, en train de faire ses bagages.
- Mais qu’est-il arrivé, Manu ?
- Qu’est-il arrivé ? Je vais te le dire ! J’ai envoyé un télégramme à ma femme en disant que je rentrais de voyage aujourd’hui. Je suis arrivé chez moi et devines ce que j’ai trouvé ?… Ma femme, oui ma Marie, avec un mec tout nu dans notre lit conjugal ! C’en est fini de notre mariage, je pars pour toujours !
- Du calme dit la belle mère ! Il y a quelque chose de bizarre dans cette histoire, ton épouse ne te ferait jamais une chose pareille !
Attends une minute, je vais vérifier ce qui s’est passé.
Quelques instants plus tard, Simone est de retour avec un grand sourire…
- Alors, je te l’avais dit qu’il devait y avoir une explication simple… Marie n’a pas reçu ton télégramme !
Pourquoi les jeunes femmes Israéliennes vont au Kotel*("Mur occidental") avant le mariage ?
Pour s’habituer à parler à un mur !
Attention : Il y a quand même une morale à cette histoire ! ! !
J'étais un jeune homme très heureux.
Ma petite amie et moi sortions ensemble depuis plus d'un an et nous avions décidé de nous marier.
Seule ombre au tableau : sa jeune et magnifique Sœur.
Très sexy, ma future belle-sœur avait 22 ans, portait toujours des tee-shirts moulants et la plupart du temps sans soutien gorge.
Chaque fois qu'elle se penchait en avant, elle m'offrait alors une vue plus que magnifique.
Ce qui me gênait c'est, que manifestement, elle ne se comportait ainsi qu'avec moi !
Un jour ma future belle-sœur me téléphona pour me présenter les faire-parts de mariage.
A mon arrivée, elle était seule et me susurra aussitôt qu'elle avait des sentiments pour moi, qu'elle me désirait ardemment et qu'elle voulait être à moi, avant mon mariage avec sa sœur.
J'étais assommé et incapable de répondre quoi que ce soit.
Elle me dit :
"Je monte à l'étage dans ma chambre si tu es prêt pour l'aventure, rejoins-moi."
J'étais comme paralysé et la regardais monter.
Je restais immobile un moment et me précipitais alors vers la porte d'entrée,
J'ouvrais la porte et courais vers ma voiture
Et soudain, quelle ne fut pas ma surprise !
Toute ma future belle-famille était là qui m applaudissait.
Les yeux plein de larmes, mon beau-père me prit dans ses bras et me dit :
"Nous sommes heureux que tu aies passé notre petit test avec succès. Nous ne pouvions rêver d'un meilleur mari pour notre fille. Bienvenue dans notre Famille".
Morale de cette histoire :
IL FAUT TOUJOURS RANGER SES PRÉSERVATIFS DANS SA VOITURE !!!
Un type décide de faire son baptême de l'air.
Il se rend dans un aéroclub et engage la conversation avec le pilote :
" Voilà... J'aimerais faire mon baptême de l'air mais je voudrais un vol à sensation, pas les petits vols pépères que vous réservez aux touristes "
" Pas de problème, si vous êtes amateur de sensations fortes, vous allez en avoir "
Le type et le pilote montent donc dans un petit avion.
L'avion prend de la vitesse... il roule de plus en plus vite mais ne décolle pas !
Il fonce droit sur un arbre !
Au dernier moment, le pilote tire sur le manche et l'avion décolle en frôlant les branches de l'arbre...
Le pilote entend son client assis derrière lui dire :
" Ça, je m'y attendais !"
L'avion a maintenant pris de l'altitude.
Comme le type ne semble pas avoir eu peur au décollage, le pilote tente la figure de "la feuille morte".
Il coupe le moteur de l'avion et ce dernier chute vers le sol.
L'avion part en vrille, le sol se rapproche de plus en plus vite et au dernier moment, le pilote remet les gaz et tire sur le manche !
L'avion fait un rase-mottes et reprend de l'altitude.
Le pilote entend son client dire :
" Ça, je m'y attendais aussi ! "
Énervé, le pilote bascule l'avion sur le dos.
Il vole ainsi un petit moment puis enchaîne les loopings.
Lorsqu'il termine ses acrobaties, le pilote entend le type dire :
" Ça, par exemple, je ne m'y attendais pas ! "
Comme le client a enfin eu les sensations fortes demandées, le pilote pose le petit avion en douceur..
Après avoir atterri, il dit à son client :
"J'ai cru que je n'arriverais jamais à vous faire peur ! Vous n'arrêtiez pas de dire "ça, je m'y attendais !"
"Écoutez bien !" dit le type, "Quand j'ai dit ça, je m'y attendais ! au moment du décollage, c'est parce que j'ai pissé dans mon pantalon tellement j'ai eu peur! Ensuite, quand l'avion a chuté vers le sol, j'ai dit ça, je m'y attendais ! parce que j'ai chié dans mon pantalon tellement j'ai eu peur ....... Par contre, quand vous avez volé sur le dos et fait les loopings à l'envers, tout est remonté dans le col de ma chemise, et ça, je ne m'y attendais pas ...!!! "
L’accident de travail
Monsieur l’assureur,
Je vous écris en réponse à la demande d’informations complémentaires concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier.
J’ai précisé : « manque de chance » dans la case réservée aux « causes du sinistre » et vous me demandez des précisions.
Je suis couvreur de formation. Le jour de l’accident, je travaillais seul sur le toit d’un immeuble de 6 étages.
Une fois le travail terminé, cet après-midi-là, j’ai constaté qu’il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120 kg .
Plutôt que de descendre les tuiles à la main, j’ai décidé de les placer dans un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce a une poulie fixée au 6e étage.
J’ai donc chargé les tuiles dans la caisse du monte-charge sur le toit et suis redescendu au bas de l’immeuble pour procéder à la descente du chargement.
Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manœuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 kg.
Dés que le monte-charge s’est retrouvé suspendu en l’air, j’ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n’ai pas eu la présence d’esprit de lâcher la corde.
J’ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l’immeuble et, au niveau du troisième étage, j’ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse.
Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précèdent.
Mon ascension s’est toutefois ralentie au niveau du 6e étage et s’est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie.
Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j’avais mentionnées. Suspendu en l’air et malgré la douleur intense, je n’ai pas lâché prise.
Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse.
Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol.
Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j’ai commencé une rapide descente vers le bas.
Au niveau du troisième étage, comme vous l’imaginez, j’ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment.
Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m’a causé qu’une simple fracture du genou.
Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l’enfoncement de la cage thoracique que j’ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente ne vous aura sans doute pas échappé.
J’ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n’ai pas eu la présence d’esprit de tenir la corde quelques secondes de plus.
J’étais donc dans l’incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 kg a entamé sa rapide redescende…
Très cordialement.
L’eurofrançais
La Commission Européenne a finalement tranché : après la monnaie unique, l’Union Européenne va se doter d’une langue unique, à savoir… le français.
Trois langues étaient en compétition : le français (parlé dans le plus grand nombre de pays de l’Union), l’allemand (parlé par le plus grand nombre d’habitants de l’Union) et l’anglais (langue internationale par excellence).
L’anglais a vite été éliminé, pour deux raisons : il aurait été le cheval de Troie économique des Etats-Unis et les Britanniques ont vu leur influence limitée au profit du couple franco-allemand à cause de leur réticence légendaire à s’impliquer dans la construction européenne.
Le choix a fait l’objet d’un compromis, les Allemands ayant obtenu que l’orthographe du français, particulièrement délicate à maîtriser soit réformée, dans le cadre d’un plan de cinq ans, afin d’aboutir à l’eurofrançais.
1. La première année, les sons actuellement distribués entre ‘s’, ‘z’, ‘c’, ‘k’ et ‘q’ seront répartis entre ‘z’ et ‘k’, ze ki permettra de zupprimer beaukoup de la konfuzion aktuelle.
2. La deuzième année, on remplazera le ‘ph’ par ‘f’, ze ki aura pour effet de rakourzir un mot komme ‘fotograf’ de kelke vingt pour zent.
3. La troizième année, des modifikazions plus draztikes seront pozzibles, notamment ne plus redoubler les lettres ki l’étaient ; touz ont auzi admis le prinzip de la zuprezion des ‘e’ muets, zourz éternel de konfuzion, en efet, tou kom d’autr letr muet.
4. La katrièm ané, les gens zeront devenu rézeptif à dé changements majeurs, tel ke remplazé ‘g’, zoi par ‘ch’, – avek le ‘j’ – zoi par ‘k’, zelon les ka, ze ki zimplifira davantach l’ékritur de touz.
5. Duran la zinkièm ané, le ‘b’ zera remplazé par le ‘p’ et e ‘v’ zera lui auzi apandoné – au profi du ‘f’, éfidamen – on kagnera ainzi pluzieur touch zur no klafié.
Un foi ze plan de zink an achefé, l’ortograf zera defenu lochik, et lé chen pouron ze komprendr et komuniké.
Le barrage de police
Un homme âgé est arrêté par un barrage de police vers 2 heures du matin.
Le policier lui demande où il va à cette heure de la nuit.
L’homme répond :
« Je me rends à une conférence sur l’abus d’alcool et ses effets sur le corps humain, ainsi que sur le tabac et les soirées tardives. »
Le policier pas convaincu demande alors :
« Vraiment, et qui est ce qui donne cette conférence à une heure pareille ? »
L’homme répond :
« Comme d’habitude, ça va être ma femme. »
Qu'est ce qui est le plus douloureux quand un Homme veut se transformer en femme ?
L'ablation du cerveau !!
Chimon ne savait pas trop quoi choisir comme cadeau d'anniversaire pour sa belle-mère.
Finalement, en désespoir de cause, il opta pour l'achat d'une concession funéraire dans un cimetière très huppé de la ville.
Un an plus tard, pour le nouvel anniversaire de sa belle-mère, Chimon ne lui achète rien.
La belle-mère ne manque pas de lui faire remarquer son oubli :
- Alors Chimon, mon fils, tu ne m'aimes plus ? Tu n'as plus de considération pour ta belle-maman ?
- C'est à dire belle-maman, je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer que vous ne vous étiez pas servi de mon cadeau de l'année dernière...
Un mec entre dans la chambre, une chèvre dans les bras.
Sa femme allongée sur le lit était en train de lire un livre.
L'homme dit :
"Regarde chérie, c'est la vache que je baise quand t'as des migraines."
La femme répond :
"Si t'étais pas con à ce point tu te rendrais compte qu'il s'agit d'une chèvre."
L'homme sourit :
"Si t'étais pas conne à ce point, tu comprendrais que je parlais à la chèvre...."
La moumoute du comte
Monsieur le comte vient de mourir.
Et comme il tenait à ce que personne ne le voie sans sa moumoute qu’il n’enlevait que la nuit, on le couche dans le cercueil avec la perruque sur la tête.
Mais dans cette position elle glisse, impossible de la faire tenir droite.
Après de multiples tentatives, la veuve se désespère.
Alors le croque-mort lui dit :
- Ne vous inquiétez pas, je vais vous arranger ça !
Un quart d’heure plus tard, il vient la prévenir que c’est fait : la moumoute reste parfaitement droite.
- Oh, merci, merci ! Combien vous dois-je ? dit la comtesse.
- Rien du tout ! Pour un malheureux clou…
C'est un gamin qui vient discrètement ouvrir la porte de la chambre de ses parents.
Il voit sa mère faire, ce qu'on nomme, une gâterie à son père.
Il referme doucement la porte et s'en va en secouant la tête et se dit :
"Quand je pense qu’ils veulent me faire rencontrer un psy parce je suce mon pouce !"
Un petit gamin se lève pendant la nuit pour aller aux toilettes.
En passant devant la chambre de sa grande sœur, il entend du bruit.
Il colle son oreille à la porte et entend sa Sœur qui dit :
« Ho, c'est bon, c'est Bon...! »
Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner avec toute la famille, il demande au copain de sa sœur :
« Dis Pierre, c'est quoi que tu donnais à manger à Valérie pendant la nuit, elle disait que c'était bon ? »
Pierre très embarrassé :
« Ha oui, c'était du chocolat. »
« Ha, Ha, menteur va ! Ce n'est pas vrai, c'était du saucisson. J'ai retrouvé la peau en-dessous du lit !
Un monsieur âgé a un sérieux problème.
Il est complètement sourd depuis plusieurs années.
Il va voir son médecin qui lui prescrit un nouvel appareil auditif haut de gamme.
Au bout d'un mois, il retourne voir son médecin qui lui dit :
- " Votre famille doit être contente de voir que vous entendez très bien ?"
L'homme répond :
« Oh, je n'ai pas encore dit à ma famille que j'avais un appareil. Je ne fais que m'asseoir et écouter les conversations. J'ai déjà changé trois fois mon testament...»
Dans un foyer pour seniors, deux hommes âgés sont assis sur un banc.
L'un d'eux se tourne vers l'autre et dit :
- "Jos, j'ai 83 ans, j'ai mal partout et j'ai des difficultés à marcher.. Je sais que tu as mon âge. Comment vas-tu ? "
- Je me sens comme un nouveau-né !
- Vraiment, comme un nouveau-né ?
- Oui, pas de cheveux, pas de dents et des couches-culottes ... !
Bonne lecture, bons sourires et bonne journée.
Jacques.
_________________
À mon très grand ami Patrice († 58).
À ma petite belle-fille Gaëlle († 31).
Décor "simpliste" sur lequel nous avions rejoué, à 9 joueurs, la Bataille d'Eylau en 1807.
Jacknap1948- Administrateur
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Humeur : Généralement bonne.
Re: 93° série de blagues.
Merci Jacques pour cette série de blagues très agréables et qui ont fait rire mon entourage.
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Re: 93° série de blagues.
Merci Jacques pour ce moment de détente toujours bien venu!
Panzerelite3945- General
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Humeur : Mi-figue mi-raisin
Re: 93° série de blagues.
Merci aussi Jacques pou ce moment de bonne humeur !
gégé
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Gégé44- Major
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Date d'inscription : 19/05/2012
Humeur : très bonne
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